Monthly Archives: juin 2025

THE COMMONERS au Brin de Zinc

THE COMMONERS au Brin de Zinc
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Ce soir, je retourne dans mon antre préféré, le Brin de Zinc,  accompagné de mon copain Steve*74 qui va faire le photographe. Etant plus scribe que portraitiste, cela m’arrange bien. C’est donc, une fois de plus, en duo que nous partons en direction de la Savoie voisine. Mais qu’allons-nous donc voir ?

Eh bien, un groupe de Canadiens venu tout droit de Toronto qui fait dans le Blues Rock mélangé avec du Classic Rock. Un Roots/Rock dont le son provient du ventre d’un tonneau de whisky, comme ils l’indiquent sur leur site. Ce groupe s’appelle THE COMMONERS.

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Avant de partir, nous passons prendre un copain sur la route, parce que plus on est de fous… vous connaissez la suite. Le temps est relativement instable, alternant averses et beau temps, comme si les giboulées de mars avaient décidé de faire du rab. Evidemment, ce n’est pas ce qui nous empêche de nous rendre à Barberaz.

Une fois arrivé sur place, le parking est déjà plein. Cela veut dire que soit nous sommes un peu trop en avance, soit que le concert est plein. Malheureusement, ou heureusement, suivant comment on se place, c’est la deuxième option qui se dévoile devant nous.  Malheureusement pour le BDZ qui ne remplit pas tout de suite et heureusement pour nous car on peut se déplacer librement.

Cependant, au fur et à mesure que le temps passe, la salle se peuple petit à petit. Même si ce n’est pas complet, il y a quand même du monde et on en profite pour discuter avec les copains qui arrivent au fur et à mesure. “C’est un trio, un quatuor ? Ils sont combien les COMMONERS ?”, se demandent quelques spectateurs. Évidemment, j’ai fait mon travail et j’explique aux non-initiés que c’est un quintette composé de Ben SPILLER à la basse, d’Adam CANNON à la batterie, de Miles EVANS BRANAUGH au clavier, de Ross HAYES CITRULLO à la guitare lead et de Chris MEDHURST au chant et à la guitare rythmique.

On papote, on papote mais c’est bien gentil tout ça, il est déjà 21 heures quand même ! On commence à s’impatienter. Bon, ça ne devrait pas tarder.

D’un seul coup, je vois cinq moustachus bizarres, qui ressemblent fortement aux membres du groupe, traverser le BDZ. C’est cool, ils vont monter sur scène. Sauf que non pas encore. Va falloir attendre encore un bon quart d’heure, avant que les Canadiens ne montent sur les planches. Patience et longueur de temps… comme le disait Jean de La Fontaine. Un quart d’heure plus tard, donc, une intro acoustique retentit dans le Brin de Zinc après l’extinction des lumières. Ce sont les musiciens qui montent sur scène.

Et c’est avec “Shake You Off” tiré de leur récent LP “Restless” sorti l’an passé que les Roturiers (THE COMMONERS traduit en français) font monter la température. Dès le début, Chris le chanteur aux phalanges tatouées – HARD sur la main gauche et LOVE sur l’autre main – nous embarque direct avec son incroyable timbre de voix dans l’univers exceptionnel des Canadiens. Le morceau “Who Are You ? » confirme que nous allons passer une très bonne soirée et qu’avec THE COMMONERS nous n’allons pas avoir du Rock sans saveur.

THE COMMONERS au Brin de Zinc

Alors que l’on pourrait penser que, comme régulièrement chez les bassistes de Blues, Ben serait en retrait, ce dernier, non content de prendre aussi le chant, bouge dans tous les sens, arpente la scène de long en large et s’éclate, tout comme ses copains, Chris et Ross, qui se retrouvent dos à dos. « Quels sont ceux qui sont venus pour les COMMONERS, ce soir », nous demande Chris. « Et combien sont déjà venus en 2022 ? ». A voir les mains levées, il devait y avoir du monde. Malheureusement, nous n’y étions pas et maintenant je commence un peu à le regretter.

« Too Much » et « Gone Without Warning » continuent de nous offrir une grosse dose de swing venu du sud. C’est à un véritable tourbillon de riffs énergiques, pimentés de voix mélodieuses et de luxueuses harmonies que nous avons droit avec ses superbes morceaux.

Ben continue de virevolter tout en faisant les chœurs tout comme Adam et Miles. J’adore. « Hier, nous étions en Allemagne et nous n’avons pas pu faire ce titre. Alors nous allons vous jouer ce morceau pour la première fois », nous dit Chris avant d’entamer « Black Gold », un inédit, qui commence doucement comme une ballade avant de rentrer dedans au refrain. Il me fait penser à un « Black Hole Sun » de SOUNDGARDEN mais en version Southern Rock.

Le titre achevé Chris prend une guitare et nous démontre qu’il n’est pas qu’un simple chanteur, mais aussi un excellent guitariste durant « Body and Soul », une superbe ballade bien soul. « Merci ! », nous dit le chanteur dans un français américanisé. Il reprend en anglais : « Ce soir, nous sommes loin de chez nous. Nous sommes loin de nos familles et nous pensons à eux, mais ce soir nous avons trouvé une nouvelle famille. Ce soir, vous êtes notre famille ! », déclame-t-il en prenant une guitare acoustique sous les approbations du public.

Le groupe joue coup sur coup deux autres ballades, « Restless » et « See You Again » de leur récent LP de 2024, le bien nommé « Restless ». « Merci beaucoup », nous redit Chris à la fin des morceaux – et toujours en français, s’il vous plaît.

Les Roturiers entament une nouvelle fois un tout nouveau titre « Ghost on the Highway ». Totalement inédit et beaucoup plus Rock que le précédent, il nous fait hurler à tue-tête et taper du pied. Tout bonnement incroyable ! Ross avec ses différents bottleneck va se frotter au plus près du public pendant que Ben continue de virevolter et Chris de faire chavirer les cœurs avec son fabuleux chant. Même si Adam et Miles sont en retrait, ils sont les fondations du groupe et permettent aux trois protagonistes de devant de faire le show.

Sur scène, il n’y a pas de set list. Tous les titres défilent au fur et à mesure sur les pédales. Heureusement que j’ai de bons yeux. Et l’on continue avec « Runnin’ Blind » qui débute par un court solo de batterie d’Adam qui fait frapper des mains le public. Ce morceau est suivi de « Hangin on Again » tiré de « Find A Better Way ».

« We gonna have one more song for you… », nous dit Chris en prenant le temps de remercier tout le staff et le public en expliquant que celui-ci a permis à son rêve de se réaliser. Et c’est avec « Devil Teasin’ Me » tiré, une nouvelle fois, du LP « Restless », un morceau dynamique et rythmé, que ce clos ce show. Un titre idéal pour finir un set, et qui se termine sur un solo de batterie. Après avoir salué tout le monde, le groupe quitte la scène. Evidemment, le public du BDZ en reveut encore et manifeste son envie d’en avoir plus. Ben oui, quoi ! Quand y’en a plus, on en veut encore. Les COMMONERS ne se font pas prier longtemps pour remonter sur les planches. « You want one more ? », demande le chanteur ? « Shake you off ! Faut jouer Shake you off ! », demande notre Ced LeMagic. « Nous l’avons déjà jouée », lui rétorque Chris en souriant. C’est donc avec « Fill my Cup » que le groupe reprend de plus belle en enchaînant avec « Find a Better Way », tous les deux sortis tout droit de leur second album « Find a Better Way ».

Au bout d’une bonne heure et demie et après nous avoir mis la tête à l’envers avec leurs sonorités claires et leurs mélodies fougueuses, c’est la fin du set. « Nous nous retrouvons dehors pour nous rafraîchir et discuter avec vous », nous annonce le chanteur avant de descendre de scène.

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Le groupe tout entier traverse de nouveau le Brin de Zinc, mais cette fois-ci dans l’autre sens, tout en serrant des mains au passage et va s’attabler dehors autour d’une bière pendant que leur stand merch’ se fait dévaliser. Une fois dehors, les COMMONERS se prêtent volontiers aux diverses photos de groupes, signatures et discussions approfondies de musique. Pour nous, le temps passe et il est l’heure de rentrer, le lendemain faut bosser. Nous prenons donc congé des Roturiers et leur disons à la revoyure.

Un grand merci à Thomas pour cette nouvelle aventure et à très bientôt.

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Rencontre avec : KRASHKARMA

RALF DIETEL et NIKI SKISTIMAS, bonjour ! Pour ceux qui ne vous connaissent pas du tout, vous êtes les KRASHKARMA. Vous défrayez la chronique avec des shows survoltés et des vidéos qui cartonnent sur les réseaux (perso, je les adore !). WTR MAG’ est très heureux de pouvoir papoter un peu avec vous.

Petite question : Comment vous êtes-vous rencontrés ?

Nous nous sommes rencontrés lors d’un salon musical en Californie, le NAMM Show. C’est l’endroit idéal pour réseauter entre musiciens, et nous nous sommes retrouvés dans la file d’attente pour les toilettes lors d’une soirée endiablée.

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Comment vous est venue l’idée de former un groupe et surtout de former un groupe à deux ?

Comme nous faisions tous les deux partie de nombreux groupes à l’époque, nous souhaitions créer quelque chose de vraiment unique pour exprimer notre vision créative. Nous chantons et jouons tous les deux d’un instrument, alors nous voulions voir jusqu’où nous pouvions aller à deux.

D’après vous, est-ce que c’est plus facile ou plus dur de n’être que deux ?

Finalement, en duo, les limites sont moins nombreuses. Le processus créatif est moins égocentrique, les voyages sont beaucoup plus flexibles, mais pour ce qui est de la performance, chacun de nous doit se donner à 200 % chaque soir. C’est notre point fort.

Question de notre rédacteur Seb 747 qui vous a vus au Brin de Zinc : RALF, comment t’es venue l’idée de ta fameuse guitare ?

J’ai toujours joué de la basse et de la guitare. Je produis également notre musique et, pour l’écriture, les deux instruments se nourrissent mutuellement. C’est là que m’est venue l’idée.

Avec mon père, un savant allemand fou, nous avons commencé à souder des câbles, à percer des trous, à scier des micros en deux et à fabriquer des prototypes pour ce qui allait devenir ma célèbre guitare/basse hybride « Mme Frankenstein ». A l’enregistrement comme sur scène, cet instrument a fait ses preuves et la basse traditionnelle n’était plus nécessaire. Il est devenu la base du son de KRASHKARMA.

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Vos clips sont carrément barrés et vos prestations scéniques aussi, la question est : est-ce que vous êtes comme ça dans la vraie vie ou est-ce parce que la musique est votre défouloir ?

Les deux. On se sent plutôt normaux jusqu’à ce qu’on explique ce qu’on fait à une personne « normale » qui a tendance à trouver nos vies plutôt folles. Alors oui, on est juste des artistes qui vivent dans notre petit monde fou qui s’élargit chaque jour à mesure qu’on touche de plus en plus de gens à l’échelle mondiale. On transmet cette énergie sur scène et dans nos vidéos.

J’aimerais savoir si c’est vous qui décidez de vos clips qui déchirent grave ?

Nous réalisons littéralement tout, de la première note enregistrée au montage final de nos vidéos Krash. Les idées nous entourent de partout. Nous les canalisons et les concrétisons.

Sur Wikipedia, on peut lire que vous êtes dans un style Hard Rock, Heavy Metal. Et vous, comment définissez-vous votre style ?

Cela semble précis – avec une attitude punk rock et une énergie hardcore.

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Quelles sont vos influences musicales ?

De ELVIS à SLAYER, de MASSIVE ATTACK à IN FLAMES, de LANA DE REY à POPPY…

Quel souvenir avez-vous de vos concerts en France ?

Les Français et leur pays sont tout simplement incroyables ! Nous adorons l’esprit révolutionnaire de leur culture. A notre avis, il représente parfaitement l’essence même du Rock and Roll. Cette énergie nous pousse à revenir en France.

Que pouvez-vous dire au public français pour qu’il vienne vous voir sur vos dates en France ?

Nous venons de Los Angeles pour vous apporter du vrai. Nos concerts sont intimistes. Pas de section VIP, pas de cordon de velours : c’est un espace où l’on fait la fête ensemble. Vous avez vu les vidéos, venez découvrir l’engouement. Nous sommes là pour apporter de l’énergie, et nous voulons vous y retrouver !

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Alors, le webzine pose toujours une question con : pensez-vous que faire du Rock ça aide avec les garçons ou les filles ?

Oui, il est bénéfique pour les garçons, les filles, ou peu importe ce que vous voulez, car le Rock est la voix de l’unité et on adore tout ça !

Merci tous les deux, on se voit très bientôt en concert !

Et pour ceux qui veulent voir KRASHKARMA en live, voici les prochaines dates sur lesquelles vous pourrez vous déplacez :

14 juin : concert à l’O’LIVER PUB – Lattes (34)

15 juin : concert au BRIN DE ZINC – Barberaz (73)

18 juin : concert au OFF du HELLFEST – Clisson (44)

04 septembre : concert à la MINUTE BLONDE – Fontenay le Comte (85)

06 septembre : concert au MENNECY METAL FEST

11 septembre : concert au DROPKICK BAR – Orléans (45)

12 septembre : concert à la CERVOISERIE – Dijon (21)

13 septembre : concert à la POUDRIERE – Belfort (90)

07 octobre : concert au CHERRYDON – La Penne sur Huveaune (13)

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THE LAST LEGACY, Isn’t that Heavy

THE LAST LEGACY, Isn’t that Heavy
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MEDIATOR 4 ETOILES - 2025 https://wtrmag.com/

Label : Autoproduit

Sortie : 14 juin 2025

Tiens, la pochette est sympa, c’est du Heavy Metal, Rock Alternatif et le groupe est Français, de Toulouse. Le Webzine aime soutenir la scène Metal française Donc je mets tout de suite ce « Isn’t that Heavy ? » en écoute.

Et putain, déjà le premier morceau, ça déboîte sa mère-grand dans le cassoulet ! Ca c’est le style de Hard que j’aime de suite ! J’aime la voix avec le chant en anglais, j’aime la rythmique… c’est une bonne entrée en matière. Le second titre est plus mid tempo et plus Metal Alternatif mais c’est très bien. Le 3e est plus Heavy Mélodique, tendance alternative.

Tiens, je vous ai perdus je crois ! Eh bien, il ne vous reste plus qu’à vous le procurer ce disque mais bon, je vous aide un peu : c’est puissant, mélodique, Heavy moderne avec un gros son. La voix est assez rauque mais se fait aigue parfois. En plus, même leurs morceaux calmes sont terribles comme le superbe « The Wanderer ».

THE LAST LEGACY est une très bonne découverte et prouve, s’il en était besoin, la qualité de notre scène musicale Metal qui se porte à merveille. 4 pics.

FAIRYLAND, The Story Remains

FAIRYLAND, The Story Remains
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MEDIATOR 3 ETOILES - 2025 https://wtrmag.com/

Label : Frontiers Music

Sortie : 13 juin 2025           

Tiens, un groupe de Metal Symphonique / Power Metal français qui sort chez Frontiers Music… Pour ceux qui ne connaissent pas le groupe, FAYRYLAND avait signé à l’époque, si je ne m’abuse, chez NTS et ils se sont taillés une belle réputation, bien méritée d’ailleurs.

Pour ce nouvel album, le line up a évolué mais ils sont encore là et bien là, même avec un nouveau chanteur.

Et ce nouveau chanteur, du nom d’Archie CAINE, à la voix qui cadre parfaitement au style de musique. Un de mes copains dirait que ça sonne très « Power Symphonique italien ». Pas totalement faux car ce « The Story Remains » explore un éventail large, mais toujours mélodique, flirtant parfois avec un petit côté médiéval comme sur « A new Dawn » (si, si, je trouve).

Alors pour résumer, on a : un album bien joué, des morceaux qui sont beaux, c’est bien produit et les textes sont recherchés. Le côté Symphonique majestueux devrait combler les amoureux du genre. Pour ma part, je le trouve bien mais il me manque un truc. A moins que ce soit un truc en trop comme le côté symphonique vraiment très, voire trop, présent. Malgré tout, je lui donne 3 pics. Comment, « je suis bien généreux », chérie ?

EMERALD MOON, The Sky’s the Limit

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MEDIATOR 4 ETOILES - 2025 https://wtrmag.com/

Label : Start Me Up / Inouie Distribution

Sortie : 13 juin 2025

Dès les premières notes de « Rock n’Roll Soul », on tombe dans l’esprit du Dirigeable ; je pense même au HEART des sœurs WILSON. Beau refrain qui t’accroche avec ce Classic Rock classieux et de très bonne facture. Avec « What you’re told », on explore, avec ses riffs et ses superbes envolées de guitares « lizziennes », les terres de la verte Erin. Le rythme est maintenu avec le très bon « Bad Moon » et toujours ces petits clins d’œil (influences) à THIN LIZZY.

VANESSA, au chant, développe une palette de vocalises, confirmé avec le bluesy « Shinking Violet (part 1) » Et c’est sans compter avec la dextérité de FABRICE DUTOUR et MICHAAL BENJELLOUN, sans oublier la grosse rythmique avec FRANCOIS C. DELACOUDRE et LAURENT FALSO (à la batterie).

On explore un peu plus avec « Show me Your Colours », petit clin d’œil à KRAVITZ mais aussi « Devil Woman » et son rythme d’enfer. Et là, on arrive au beau, au magique « Worry ». VANESSA possède une voix pour chanter le Blues mais pas que ! Ce titre me touche, c’est l’apothéose avec cette montée en puissance.

On se calme avec le beau « When there’s a Will, there’s a Way » ; je pense alors à MELISSA ETHERIDGE. A nouveau, de belles envolées de guitares « liziennes » sur le titre « The Sky’s the Limit » ; j’adore !

Le voyage sur la Lune est sur le point de s’achever avec « Cruel to be Kind », si Rock ; ah toujours ces envolées si jouissives de guitare. Déjà on se quitte avec le superbe « Hummingbird waiting for You », ces si jolies notes de guitare sous la voix de VANESSA qui nous transportent. Une totale réussite, tout comme cet album, 1er opus d’EMERAL MOON.

En quelques mois, les sorties de HEART LINE, YANN ARMELLINO, PATRICK RONDAT et EMERALD MOON, confirment la bonne santé musicale de la scène Rock française actuelle et sa capacité à se projeter même à l’international. Il ne me reste plus qu’à les découvrir sur scène mais ce  n’est pas gagné avec mon agenda de Ministre… du Rock !!!