Tagged: BLUES ROCK

DR. FEELGOOD à l’Espace Vauban

Encore une fois, c’est une cause féminine qui m’aura retardé pour revenir dans ce lieu culte qu’est l’Espace Vauban.

Ce lieu est le passage obligé quand vous séjournez à Brest ! Charles, le tôlier, de par son sérieux mais aussi sa gentillesse, en a fait un lieu musical incontournable ! D’ailleurs, les couloirs de l’hôtel, à l’étage, sont une vraie expo de photos Rock. Quant au resto, c’est une si bonne table (miam, les desserts maison !).

Bon, revenons à nos moutons ! Il semblerait que ma rigueur tombe quand je suis en pleine discussion féminine et je n’ai pas vu l’heure arriver (mea culpa). Le temps de me garer et d’arriver dans la place, mince c’est blindé !!! Double mince, les Anglais de DR. FEELGOOD ont déjà commencé leur show ! Impossible de me rapprocher de la scène, surtout que je suis un peu timide pour pousser les colosses bretons, surtout avec leur pinte de bière à la main. Je me contenterai donc d’une vision et d’une prise de vues à 20 mètres ! Et ça n’arrête pas, infernal les allers/retours au bar pendant tout le show !

Exit « Drive me Wild », « No mo do Yakamo » « She does it Wright », titres du début et que j’ai loupés !

DR. FEELGOOD à l’Espace Vauban
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DR. FEELGOOD à l’Espace Vauban

Je découvre nos Anglais sur « Mary Ann ». Enfin, je découvre… je les ai déjà vus il y a quelques années au fameux Brin de Zinc de l’agglo de Chambéry. Et avec ROBERT KANE au chant (digne successeur de LEE BRILLEAUX), ça sent toujours la sueur avec un Rythm ‘n’ Blues de très bonne facture.

Les covers ne sont pas en reste avec : « I can tell » (BO DIDDLEY), «You don’t Love me » (WILLIE COBBS), « See you later Alligator » (BOBBY CHARLES), « Dawn at the doctor » (MICKEY JUPP).

La machine est en route et bien rodée avec « Put the blame on me ». C’est avec « If my Baby Quit me » que ROBERT en profite pour présenter les musiciens : GORDON RUSSEL à la guitare, PHIL MITCHELL à la basse et KEVIN MORRIS à la batterie.

S’enchaînent alors « Back in the Night », « Roxette », « Keep it Undercover ». On est à 80% du show et c’est avec « Milk and Alcohol », « Gimme one more Shot’ » que le show se termine.

1er rappel et retour aux essentiels avec « Last call ». C’est ensuite avec deux nouveaux covers « Riot in Cell Black #9 » (de THE ROBBINS), suivi de « Route 66 » (de BOBBY TROUP) que cette soirée s’achève.

Petit arrêt au stand de merchandising pour quelques goodies. Je repars du coup avec un auto-collant logo du groupe pour mon fourgon, un bonnet et enfin un T-Shirt, toujours avec le logo si sympa du groupe. On ne se refait pas ! N’est-ce pas Doc Olivier Vinylestimes ?

Un grand merci à Arsenal Productions pour l’accréditation photos.

BANDEAU WTR LE WEBZINE DE TI RICKOU https://wtrmag.com/

ELLIS MANO BAND, Morph

ELLIS MANO BAND, Morph
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Mediator de notation 3 pics de WTR LE WEBZINE DE TI RICKOU https://wtrmag.com/

Label : SPV

Sortie : 21 février 2025

Alors normalement, cet album d’ELLIS MANO BAND, c’est du Hard Rock. J’ai bien dit : normalement. En tout cas, c’est ce qui est écrit en descriptif sur la fiche presse.

Après je dirais que oui, c’est effectivement du Hard Rock mais 70 et teinté de Rock Sudiste avec des touches de Blues. Sur certains morceaux, on a des envolées d’orgue Hammond, une voix rauque et chaude, des morceaux avec des variations de rythme comme dans « For all I Care », par exemple. « Scars » quant à lui est un Blues.

Enfin, pour résumé, c’est un album pour fans de Blues Rock Hard 70. Tout ce que ma chérie à moi adore, lol. Allez, 3 pics.

MANON WERNER BAND au Brin de Zinc

MANON WERNER BAND au Brin de Zinc
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19 mai 2023, je prenais une belle claque au Brin de Zinc avec le MANON WERNER BAND, qui a su m’emmener très loin de par sa musique. Même si j’avais déjà été séduit par les vidéos que le groupe propose sur sa chaîne YouTube, ce fut sur scène un vrai coup de cœur, de ceux qui te laissent marqué pendant un moment !

Aussi, quand j’ai su que ce groupe remettait ça au même endroit, je n’ai eu aucune hésitation ; non seulement à y aller, mais à partager ce moment avec la femme qui partage ma vie depuis bientôt six belles et heureuses années. Quitte à passer un moment musical riche émotionnellement, autant le passer en très belle compagnie.

MANON WERNER BAND au Brin de Zinc
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MANON WERNER BAND au Brin de Zinc

On n’a pas mis longtemps avant de prendre du plaisir à vivre ce moment : dès l’intro en fait. Moment solennel pendant lequel Manon WERNER, en voix off, explique le pourquoi de ce nouvel album, sobrement intitulé  » Wild « . Le groupe monte sur scène et attaque d’entrée avec un  » She wolf  » qui met de suite tout le monde d’accord. En même temps, le capital sympathie du groupe est énorme depuis un bon moment tant les prestations live sont d’une haute qualité. La réputation du sextet n’est plus vraiment à faire. On sait d’avance qu’on va passer un pur bon moment quand ils sont sur scène.

Les musiciens sont absolument fabuleux : chacun tient sa place sans empiéter sur l’autre, comme un parfait équilibre entre le guitariste et les claviers, le saxophoniste parfois endiablé qui peut rajouter une grande dose de sensualité et la section rythmique. Tout l’ensemble s’imbrique de façon précise pour n’en retirer que la pure substance d’un Blues Rock qui peut se montrer tantôt rugueux, souvent intimiste, régulièrement touchant !

C’est qu’on en a pris, des moments de pure émotion, ce soir-là : entre l’introduction citée plus haut, un  » Woman’s blues  » qui prend toujours plus aux tripes à chaque écoute, des reprises que le MANON WERNER BAND se réapproprie totalement pour les réadapter à la sauce Blues Rock pour les faire confiner à la beauté absolue ( » I feel you  » de DEPECHE MODE,  » Voodoo Child  » de JIMI HENDRIX), et surtout un final de pure beauté sur lequel Manon WERNER montre toute l’étendue de son talent. Et le tout au milieu de titres qui font mouche vis-à-vis de tous ceux qui aiment tout simplement la bonne musique aussi riche techniquement qu’émotionnellement ! Clairement, un show du MANON WERNER BAND ne s’écoute pas, ne se raconte pas : il se vit !

Ce soir au Brin de Zinc, le MANON WERNER BAND nous a décoché un set de pur feeling, lors duquel les morceaux de bravoure se sont accumulés pour le plaisir des fans conquis d’avance ! Ils sont faits pour devenir grands… très grands ! Et ce ne sera que mérité…

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LANCE LOPEZ au Brin de Zinc

LANCE LOPEZ au Brin de Zinc - Crédits Photos : Bérénice Fléchard
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LANCE LOPEZ au Brin de Zinc – Crédits Photos : Bérénice Fléchard

BERNARD LAVILLIERS chantait il y a quelques années en arrière « On the road again ». Cette chanson est faite pour moi car me voilà à nouveau sur la route pour aller assister, vous l’aurez deviné, à un concert. Ce soir, mon compagnon de concert habituel, Seb 747 ayant déclaré forfait, je pars seul une fois de plus vers le Brin de Zinc et pour écouter du Blues Rock. Oui,  cela change un peu de style mais dans la vie il faut avoir l’esprit ouvert et apprécier à leurs justes valeurs les bons musiciens.

Pile à l’heure, LANCE LOPEZ et ses compères traversent la salle pour rejoindre la scène. Pour ceux qui ne connaissent pas, c’est le seul accès pour eux. LANCE  effectue une tournée européenne de 15 dates, essentiellement en Allemagne, avec une seule programmée en France ! Et en plus, c’est la dernière avant de retourner aux USA. Impossible de ne pas y assister. L’occasion de le voir ne se représentera peut-être pas de sitôt…

LANCE LOPEZ au Brin de Zinc - Crédits Photos : Bérénice Fléchard
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LANCE LOPEZ au Brin de Zinc – Crédits Photos : Bérénice Fléchard

C’est sous la forme d’un trio que, ce soir, ils vont jouer. Après une intro relativement longue, le set démarre. Et tout de suite le Blues Rock chaud et chaleureux retentit dans un BDZ bien rempli. Le jour férié de la veille ou le début de semaine n’ont pas entravé le nombreux public du jour. Comme quoi un bon groupe attire du monde malgré certains grincheux qui prétendent le contraire ou invoquent la fatigue…

Très rapidement, tout le monde admet sans contestation possible que LANCE, chapeau texan sur la tête, maîtrise très bien son instrument. Les solos sont nombreux et les notes défilent rapidement sous des doigts hyper agiles. Il assure aussi le chant et se permet de réaccorder sa guitare tout en continuant de jouer et en chantant ! D’ailleurs, certainement sous l’effet de la chaleur des projecteurs, il réaccordera plusieurs fois ses guitares mais ces fois-là, il le fera entre les morceaux.

LANCE LOPEZ au Brin de Zinc - Crédits Photos : Bérénice Fléchard
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LANCE LOPEZ au Brin de Zinc – Crédits Photos : Bérénice Fléchard

Il a à sa disposition 3 guitares qu’il va utiliser suivant le style des chansons. En effet, il ne fait pas que du Blues Rock pur et dur, non. Il s’aventure aussi vers des registres plus Blues ou Country avec l’utilisation d’un bottleneck qu’il emploie avec talent.

En Français, il nous dit sa satisfaction d’être en France. Bon, ensuite il parlera en Anglais avec un accent prononcé. Je comprends quand même l’essentiel de ses interventions orales et notamment le fait, qu’au début de sa carrière, il a beaucoup joué avec LUCKY PETERSON et surtout BUDDY MILES (un batteur exceptionnel, malheureusement décédé aujourd’hui qui a joué avec des musiciens prestigieux comme JIMI HENDRIX pour ne citer que lui. Sur un CV c’est la classe !).

LANCE LOPEZ au Brin de Zinc - Crédits Photos : Bérénice Fléchard
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LANCE LOPEZ au Brin de Zinc – Crédits Photos : Bérénice Fléchard

Plus le concert avance dans le temps, plus LANCE LOPEZ se lâche. Les morceaux deviennent très longs, plus de 10 minutes, et LANCE se lance alors dans des improvisations pendant que sa rythmique, certainement habituée suit sans aucuns soucis. Le bassiste, la casquette vissée sur la tête, reste imperturbable, il est impassible, restant tranquillement dans son coin sans jamais esquisser le moindre sourire. Le batteur est un peu plus démonstratif visuellement. Tous les deux viennent de Nashville. LANCE, lui, est né en Louisiane à Shreveport avant de migrer à Dallas au Texas.

Au fil des titres, on ressent bien les influences qui ont façonné son jeu de guitare : STEVIE RAY VAUGHAN, BB KING. Il leur rend un hommage appuyé avant d’entamer un Blues bien lent, à l’ancienne avec un solo où chaque note résonne bien et est bien perceptible avant la suivante. En revanche, le morceau va lui aussi s’étirer pour une bonne dizaine de minutes avec malgré tout des variantes dans le tempo. Renseignement pris auprès d’amis à la fin du concert, ce morceau aurait duré plus de 14 minutes. Ce qui est assez rare pour du Blues mais qui permet beaucoup de subtilités et de digressions musicales dans le titre.

LANCE LOPEZ au Brin de Zinc - Crédits Photos : Bérénice Fléchard
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LANCE LOPEZ au Brin de Zinc – Crédits Photos : Bérénice Fléchard

Pour compléter ses influences, il n’oublie pas de nommer aussi ZZ TOP et BILLY  GIBBONS. D’ailleurs sur « El paso sugar », on peut reconnaitre de larges extraits du célèbre trio texan. Sinon le répertoire pioche allègrement dans sa nombreuse discographie, 10 albums dont 2 live en 20 ans de carrière. Il ne chôme pas notre bluesman ! L’inspiration est palpable chez lui et ne lui pose pas de problèmes, il a ça dans le sang.

Après plus de 2 heures de show, LANCE LOPEZ quitte la scène avant de revenir pour, vous vous en doutez, un rappel. Un rappel, hyper long lui aussi et qui va finir d’achever un public conquis depuis longtemps et qui ne s’attendait pas à un concert de 2h30 ! Tout le monde est resté stoïquement à sa place sans bouger ni se plaindre de la longueur du show et ça c’est vraiment un signe de communion et de plaisir partagé.

LANCE LOPEZ au Brin de Zinc - Crédits Photos : Bérénice Fléchard
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LANCE LOPEZ au Brin de Zinc – Crédits Photos : Bérénice Fléchard

Quelle prestation ! Rarement vu un musicien dégageant autant de feeling, il fait corps avec son instrument. Il vit et respire la musique. Et quelle simplicité et gentillesse au stand merchandising. Il mérite plus de reconnaissance auprès des Français et des programmateurs souvent trop frileux. Comme souvent les absents ont eu le tort de ne pas venir.

Merci à Thomas et au BDZ de nous proposer de telles soirées.

LANCE LOPEZ au Brin de Zinc - Crédits Photos : Bérénice Fléchard
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BLUES ROCK ET HARD N BLUES jusqu'à fin 70
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TEN YEARS AFTER

Recorded live

Waouh ! Quel putain d’album !! La guitare d’Alvin LEE, les morceaux Blues Rock
mortels.

Et bien sûr, il y a « I’m going Home » !!!!!

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Live cream

CLAPTON créa CREAM et le Blues Rock deviendra Hard Rock. Un putain de live ! Une tuerie cet album. Je craque pour cette version de « Rollin and Tumblin » ! 

Dieu a un nom sur Terre : c’est Eric CLAPTON à la guitare !

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Du blues-rock d’anthologie ce live. A avoir ab-so-lu-ment !

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JANIS JOPLIN

In concert

Un des rares disques qui me fait embuer les yeux. Une putain de chanteuse, une putain de voix. Elle chante en donnant tout comme si le seul truc qui compte c’est le morceau qu’elle interprète. 

Ce disque sent les tripes et l’alcool. Culte.

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JIMMY HENDRIX

Live at Woodstock

Ben voilà, c’est fait ! J’ai mis un HENDRIX dans une de mes listes. Mais pas n’importe lequel : l’enregistrement à Woodstock ! Du Blues Rock torturé, maltraité, joué sous acide.

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RORY GALLAGHER

Irish tour 74

Une véritable tuerie cet album live.  Un best of d’enfer du Monsieur. Bien sûr, un indispensable !

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SAVOY BROWN

Shake dowm

En Angleterre, on aime le Blues Rock, et on sait le faire.. avec la English Touch ! Des reprises de standards qui, du coup, tapent fort !

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WEST, BRUCE & LANG

Why dontcha

Ou quand le Blues Rock flirte méchamment avec le Hard Rock. Un grand album !

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CACTUS

Cactus

Du Blues Rock qui déménage grave avec Carmine APPICE à la batterie. Immanquable !

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CACTUS

Ot ‘n’ Sweaty

Une partie en live, l’autre en studio. Mais dans l’une comme dans l’autre des morceaux qui balancent grave !!

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JEFF BECK, TIM BOGERT, CARMINE APPICE

Same

Tim BOGERT et Carmine APPICE de CACTUS plus Jeff BECK, forcément ça fait un putain d’album de Blues Rock. Magnifique !!!

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BLUE CHER

Vingebus Eruptum

Il y a des gens qui, avec cette version de « Summertime Blues », leur attribue la  paternité du Hard Rock. En tout cas, ça date de 1967 et waouh, quel album ! Du Blues Rock sur-vitaminé et acide !!!

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J. GEILS BAND

Live full House

Du Rock Blues et Soul, mélange détonant qui fonctionne vraiment. Une vraie tuerie ce live.

Ce groupe est différent des autres avec sa touche soul. Moi, j’aime !

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LIVIN BLUES

Rocking at the tweed mil

Du vrai Blues Rock avec des reprises de Blues passées à la machine à baffes du Rock.
Méconnus mais vraiment trop bons.

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DIAS DE BLUES

Dias de blues

Du Blues Rock chanté en Espagnol, du Blues Rock made in Amérique du Sud. 

Magnifique et vraiment à posséder (Heu, pas facile à trouver quand même !).

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TRAPEZE

Live at the Boat Club 1975

Encore un live qui déménage. Encore un groupe méconnu à posséder !!

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FRANK MARINO & MAHOGANY RUSH

Whay’s Next

Du Blues Rock revu à la sauce Hard Rock avec un côté « HENDRIX est mon papa ». 

Vraiment intéressant ce CD.

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FOGHAT

Fool for the city

J’aime trop cet album pour être objectif. Hard Rock, Blues Rock, Sudiste, Boogie, il peut être partout, et il y sera chez lui.

Un CD monstrueux par la qualité de ses morceaux et de ses musiciens !!

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FOGHAT

Live

FOGHAT en live, c’est tout simplement monstrueux et ce n’est pas la version démentielle de « I just Want to Make Love to You » qui prouvera le contraire.

Un disque incontournable.

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