Monthly Archives: décembre 2013

C’est après notre rencontre au Rising Fest de Dijon fin septembre et la fin de leur tournée internationale que les Lonewolf ont bien voulu répondre à quelques questions.

LONEWOLF INT. 5

Ti-Rickou : Contents du concert au Rising Fest ?

Lonewolf : Nous avons passé un super moment ! Nous jouons peu en France et il est vrai que l’ambiance qu’il y avait ce soir-là nous a fait chaud au cœur.

Ti-Rickou : Il y a un bus complet qui est venu de Strasbourg juste pour vous. De vrais fans qui font 400 bornes pour vous voir ! Vous les avez envoûtés ?

Lonewolf : (Rires) C’est extraordinaire de voir ça ! On ne les remerciera jamais assez pour ça. La plupart des personnes de ce bus font parties de la Wolf Division (une page Facebook créée par les fans et pour les fans du groupe). Le bus est déjà venu pour trois dates que nous avons fait en France ! On dit souvent que le métal est une grande famille et bien là, nous pouvons le confirmer !!!

LONEWOLF INT. 4

Ti-Rickou : Vous avez six albums à votre actif, comment voyez-vous l’évolution de votre musique ?

Lonewolf : Depuis l’album « Army Of The Damned » je pense (Antoine) que nous avons trouvé notre propre style. Les influences du début sont, bien entendu, toujours là (Running Wild, Grave Digger…) mais un côté plus mélodique (guitares harmonisées, mélodies plus présentes…) a fait son apparition. Il est difficile de prévoir l’évolution de notre musique, nous enregistrons ce qu’il nous semble le mieux, ce qu’il nous passe par la tête au moment présent !

Ti-Rickou : Vous jouez énormément à l’étranger, n’est-ce pas frustrant d’être plus apprécié ailleurs que chez soi ?

Lonewolf : Tout dépend de l’intérêt qui est porté à l’égard de la musique métal . La France a toujours été un pays où il est difficile de « percer » si tu joues du métal. A l’étranger (en Allemagne par exemple) la culture métal est ancrée. Il est donc naturel pour nous que la plupart des concerts que l’on nous propose se situe ailleurs qu’en France ! Je ne te cache pas que l’on aimerait quand même jouer un peu plus par chez nous et pourquoi pas un jour au Hellfest ! (rires).

DSC_0091

Ti-Rickou : Vous êtes basés sur Grenoble. D‘après vous, est-ce que c’est un vrai handicap de ne pas être sur Paris ?

Lonewolf : Absolument pas !

Ti-Rickou : Pensez-vous que le fait de venir du bassin Rhône-Alpin donne une couleur différente à votre heavy métal ?

Lonewolf : Oui… si nous parlions de montagnes, de ski, de raclette ou de choucroute (n’oublions pas que notre bassiste est Alsacien) dans nos paroles (rires) !! Plus sérieusement, la provenance d’un groupe ne change en rien du moment qu’il pratique un métal digne de ce nom !

Ti-Rickou : On vous compare souvent à Running Wild, vous n’en avez pas  marre ?

Lonewolf : Oui et non… Comme je l’évoquais plus haut, nous avons trouvé notre propre style. Dans Lonewolf, seul notre chanteur/guitariste Jens est un fan inconditionnel de Running Wild ! Bien-sûr le reste du groupe aime aussi mais pas au même point que Jens (rires) ! Pour ma part, je ne vois que quelques ressemblances avec Running Wild depuis l’album « Army Of The Damned ». Il est parfois simple pour certains de cataloguer Lonewolf comme simple copie de Running Wild ce qui est je pense totalement faux…

LONEWOLF INT. 6

Ti-Rickou : Est-ce que vous aimez des groupes de métal français ?

Lonewolf : Evidemment : Hürlement, Elvenstorm, Sortilège, Killers, Loudblast, Carcariass, Blazing War Machine, Ellipsis, Whisky of Blood, Deficiency..

Ti-Rickou : Que pensez-vous de la scène métal française en général et en Rhône-Alpes en    particulier ?

Lonewolf : Je pense que la région Rhône-Alpes est assez dynamique au niveau du métal. Il y a plusieurs groupes de styles très différents à Grenoble dont certains sont connus à l’échelle internationale. Par ailleurs, nous avons la chance d’avoir eu d’assez nombreux concerts organisés dans la région, de grands groupes passent à Lyon, même si je trouve que les concerts ont tendance (tout du moins à Grenoble) à se tarir au fil du temps.

LONEWOLF INT. 1

Ti-Rickou : Et pour finir, la question con : est-ce que faire du heavy, ça aide avec les filles ?

Lonewolf : Etant donné que nous sommes tous les quatre en couple, je ne répondrais pas à cette question… de peur des représailles (rires) !!!

Ti-Rickou : Merci les gars ! Au plaisir de vous revoir sur scène !

images

 

FRANKY COSTANZA, batteur de DAGOBA
FRANKY COSTANZA, batteur de DAGOBA

C’est après le concert au BRIN DE ZINC qui a clôturé leur tournée 2013 que FRANKY COSTANZA a bien voulu répondre à quelques questions..

 

DAGOBA 3

Avant que les parisiens ne nous envahissent l’autoroute, direction Chambéry et le Brin de Zinc pour un concert de glam-rock… Hein, quoi, chérie ? DAGOBA ne fait pas de glam-rock ? On m’aurait menti ? Bien sûr, je déconne, je viens pour la première partie… Non, je re-déconne (on en reparle plus tard) ! Non, la vérité, c’est que si je vais ce soir à Chambéry, c’est pour prendre une bonne dose de soleil avec les marseillais de DAGOBA.

Bon, arrivé au Brin de Zinc, j’ai la confirmation que la première partie a bel et bien déclaré forfait et qu’elle n’a pas été remplacée (comme ça, au pied levé c’est un peu compliqué..).

DAGOBA 7

Donc 21H30 et des brouettes, DAGOBA monte sur scène en remerciant la première partie d’avoir chauffé la salle. MDR ! Tout le monde a le sens de l’humour ce soir.

De toute façon, le BDZ est plein comme un oeuf (un jeudi soir ?:!!!!) et n’a pas besoin d’être chauffé car le public est déjà à donf. En parlant de ça, Monsieur le chanteur, ce n’est peut-être pas la peine d’en rajouter en leur disant que ce soir il faut tout exploser !!! Pour le coup, pour prendre des photos, c’est pas pratique. L’ambiance est bon enfant, mais devant la scène, c’est la guerre !

DAGOBA 4

Au niveau morceaux, DAGOBA se sert dans sa discographie, en n’oubliant pas bien sur leur petit dernier qui sera bien représenté ce soir.

Les musicos sont heureux d’être là et du coup l’alchimie est parfaite.

Musicalement, perso, quand le chanteur ne prend pas sa voix death, ça va. Je trouve même qu’il y a des morceaux avec des superbes mélodies. Après, vous me connaissez, je suis beaucoup moins client des grosses voix qui me font peur. Mais bon, de toute façon, ils ne sont pas là pour moi.

DAGOBA 1

Est-il besoin de préciser que le batteur assure méga grave. Lui et ses copains savent vraiment tenir une scène et faire participer le public. Il y en a d’ailleurs qui n’auront pas besoin de faire un régime : avec un concert de métal comme celui-là, ils vont perdre dix kilos ce soir ! Et en plus, ils se sont éclatés à les perdre ! A quand les concerts de métal remboursés par la Sécu ?! Loool !

DAGOBA 8

Le public, malgré le fait qu’il n’y ait pas eu de première partie en aura eu pour son argent car DAGOBA ne nous a vraiment pas fait un show au rabais ! 

En plus, une fois le show terminé, les musiciens vont venir faire des photos, signer et papoter avec leurs fans qui, pour certains, sont venus de loin !

DAGOBA 2

Encore une fois, le BRIN DE ZINC a eu le nez fin de nous faire passer DAGOBA pour la dernière date de leur tournée. Moi aussi, j’ai eu le nez fin, car ce soir, il faisait vraiment chaud à Chambé !! Bon on est OK, ce n’est pas le style de métal que j’écoute tout le temps, mais je ne regrette vraiment pas de les avoir vu en live car ça vaut vraiment le coup et, à mon sens, DAGOBA mérite amplement sa position de leader de la scène métal en France.

DAGOBA 9

DAGOBA 6

WALKING PAPERS 1
The Walking Papers

Aujourd’hui, on est le 08 décembre et le 08 décembre à Lyon, il y a deux solutions : soit on y va en même temps que plusieurs millions de personnes pour la Fête des Lumières, soit on n’y va pas. Et dans ce dernier cas, surtout on ne s’approche pas de cette ville ! Vade retro Satanas !

Heu perso, j’aurai bien voulu faire ça cette année – cette solution m’allait très bien – mais les dieux de la musique et Eldorado en ont décidé autrement. Là vous devez être en train de vous demander : « Comment ça se fait qu’il prenne le risque de braver les bouchons du 08 décembre pour aller voir BIFFY CLYRO ? ». Heu, je dois avouer, qu’en bon métalleux, je ne savais même pas que BIFFY CLYRO existait trois semaines avant que ne soit annoncer le groupe de première partie du concert. Mais si vous me parlez de THE WALKING PAPERS, là je connais !

Pas vous ? C’est bêta ! Bon, on en reparle.

WALKING PAPERS 6
The Walking Papers

J’arrive donc de bonne heure, juste à temps pour avoir la dernière place du parking, et là j’ai deux surprises : 1°- il va y avoir beaucoup de monde (grande salle blindée), 2°- les gens sont là à 98% pour BIFFY CLYRO ! 

WALKING PAPERS 3

Et, bonne nouvelle pour nous les garçons, il y a beaucoup, beaucoup, beaucoup de filles ce soir ! Euh chérie, je ne les ai même pas regardées.. Moi je dis ça parce qu’on me l’a dit, tu vois ?

Allez, on rentre. On est au chaud et the WALKING PAPERS peut prendre possession de la scène… enfin plutôt des 1 m 50 / 2 mètres qui leur ont été laissé à disposition !

Bon allez, je vais le tuer le suspect : THE WALKING PAPERS, c’est DUFF MC KAGAN (ex-GUNS AND ROSES) à la basse ! Là. Vous avez compris ? Pour voir un ex Gunner en action, Ti-Rickou est prêt à tout. En plus, l’album qui vient de sortir est une putain de bombe atomique ! Je n’avais forcément pas le choix ! Et de même que quelques autres extra-terrestres parmi cette foule compacte qui sont, eux aussi, venus juste pour eux, je ne vais pas le regretter !

Les WAKING PAPERS vont laisser passer un intro musicale western (« Il était une fois dans l’ouest », de mémoire… En tout cas, la musique d’un western !) avant d’entrer sur scène.

THE WALKING PAPERS, c’est un putain de groupe de rock ‘n’ roll !

WALKING PAPERS 2

Ils s’amusent, ils sont heureux d’être avec nous, heureux de nous faire participer. Le batteur se lève et rythme les refrains avec la grosse caisse. Le chanteur incite le public à chanter. Bref, un vrai putain de concert de rock ‘n’ roll !! En plus, ils ne choisissent pas la facilité en reprenant des morceaux des Gunners que tout le monde connait et vont jouer les morceaux de leur album uniquement.

 

Bon, moi de toute façon, je ne suis pas objectif, j’ai DUFF MC KAGAN à moins d’un mètre de moi ! Bon, je viens d’avoir confirmation que quarante minutes quand on n’est pas au boulot, ça passe vraiment très vite ! J’en aurai bien repris une grosse louche !

Mais le set est à peine terminé que les filles citées plus haut sont déjà en train de scander en hurlant : « BC ! BC » !!!

WALKING PAPERS 4
The Walking Papers

Allez, le temps de me remettre – et c’est dur parce que c’était franchement vraiment très très bien ! – et là deux solutions s’offrent à moi : soit je me casse, soit je joue le jeu par curiosité et je retourne dans la salle sur-blindée (et du coup sur chauffée. C’est un coup à attraper la crève cette connerie !).

Bon, l’avant-scène a été débarrassée. Le rideau tiré dévoile une batterie sur-élevée et assez rapprochée. Ca va être cool, je vais même pourvoir prendre le batteur en photo !

BIFFY CLYRO 1
Biffy Clyro

BIFFY CLYRO arrive sur scène et là, pour la première fois depuis longtemps, je vais regretter de ne pas avoir de bouchons d’oreilles. Pas que les BIFFY CLYRO jouent trop fort mais parce qu’ils doit y avoir un millier de filles hystériques qui me vrillent les oreilles ! On se croirait à un concert de PATRICK BRUEL dans les années 80 !! Mais aussi, quelle idée bizarre ils ont eu d’arriver directement torses nus ! Ils n’auraient pas pu attendre un peu ?!!

BIFFY CLYRO 5
Biffy Clyro
BIFFY CLYRO 7
Biffy Clyro

Musicalement, c’est bien fait et scéniquement, ils assurent grave. Les lights sont magnifiques et du coup la salle est hystérique.

Après perso, mouais… Pas ma pinte de houblon ! Mais bon à priori, le reste du Transbordeur – ormis peut-être ceux qui se sont déplacés juste pour THE WALKING PAPERS – a trouvé l’heure quarante de concert trop courte ! Et c’est ça l’important.

BIFFY CLYRO 6
Biffy Clyro

Voilà, c’est fini. Et bien fini car ni BIFFY CLYRO ni malheureusement les WALKING PAPERS ne vont pointer le bout de leur nez. Grâce à Twitter, j’apprends que DUFF est en train de regarder un match de tennis.. Je décide donc d’aller gratter le pare-brise de ma voiture ! De toute façon, la salle a été évacuée et… le parking aussi !

A u Transbo, les lumières s’éteignent.

BIFFY CLYRO 3
Biffy Clyro

 

BILAN DE LA SOIREE

 

WALKING PAPERS 5

THE WALKING PAPERS

Wouah ! J’avais déjà pris une claque avec l’album, mais là en plus, j’ai pris une claque sur scène ! Je suis méga content d’avoir vu DUFF dans une forme comme ça, de le voir faire de la musique avec des potes pour s’éclater – et de nous faire nous éclater par la même occasion ! J’espère que ce groupe durera car ce sont vraiment tous des tueurs. En plus, musicalement, franchement ça le fait grave !

 

 

 

 

 

BIFFY CLYRO 4

BIFFY CLYRO

Je ne vous ai pas dit ce que c’était musicalement… mais c’est parce que je ne sais pas. Non je déconne ! Mélange de rock, de métal et de pop, de néo truc much et de je ne sais pas quoi, mais en tout cas, ils ont leur style à eux, qu’ils maîtrisent bien en plus, et que des millions de gens dans le monde apprécient. En plus, ils ont une putain de fan base. Certaines nanas sont arrivées à 8 h du matin à la barrière pour être au premier rang le soir. Par moins trois, il faut vraiment être fan !

 

 

 

 

 

Merci à Eldorado pour ce concert (c’était gonflé de le faire un 08 décembre mais bien récompensé sur ce coup-là !).

Un coucou spécial à STEVE E. et sa copine qui, comme moi, étaient venus pour DUFF et qui, comme moi, n’ont pas eu la possibilité de le rencontrer !!

 

Allez, ça faisait un petit bout de temps que je n’avais pas été dire bonjour à nos copains suisses. Donc c’est parti direction Genève, et plus précisément l’Usine (bon, je ne vais pas vous la refaire, je ne vais pas bosser à l’Usine, mais c’est le nom de la salle !). Et c’est parti pour les aventures de Ti-Rickou chez les helvètes !

Avec, pour commencer, une grande désillusion. Je pensais que chez nos amis suisses tout était carré, ponctuel…  ben heu là, c’est un peu plus compliqué : ouverture prévue à 21 h mais à 21 h 35, on est toujours là en train de se peler les miches pendant qu’ils installent des barrières… fermées… Pas tout compris sur ce coup-là, moi ! Ca me permet de voir qu’il va y avoir beaucoup, beaucoup de monde pour ce concert. En plus, ça parle aussi bien espagnol qu’italien ou anglais, et bien sûr français et allemand ! Bref, foule cosmopolite et.. jeune !

deaf havana 4

 

J’arrive enfin à entrer alors que le groupe de première partie, DEAF HAVANA, en est déjà à son deuxième morceau. Hallucinant, quand même ! Je suis devant la porte en avance et j’arrive quand même à louper le début du groupe de première partie !

Vous allez me dire que pour DEAF HAVANA, groupe plutôt étiqueté pop, ce n’est pas forcément dramatique.. Que neni, braves gens ! OK, c’est pop, voire pop rock, mais c’est énergique. Une bonne découverte, ce qui n’était pas forcément gagné sur le papier. Comme quoi, rien ne vaut le fait d’aller voir un groupe en live. En plus, une bonne partie du public est là pour eux. Et ça, c’est déjà un signe sympa.

deaf havana 2

 

Bon, le temps de faire une petite pause et de papoter un peu avec les DEAF HAVANA pendant le changement de plateau, et il est temps de regagner ma place devant la scène pour le début du concert des FRATELLIS.

FRATELLIS 2

Et là, on est dans un mélange de T-REX, de pop, de rock mais aussi, effectivement, de glam. Le public adore ça, le groupe aussi. Heu, j’ai un sentiment bizarre à propos du chanteur… Bon, c’est vrai qu’il ressemble pas mal à MARC BOLAN et que ça renforce méchamment le côté T-REX de la musique. Les FRATELLIS, c’est ça : du fun et de la musique qui fait bouger les pieds et qui fait s’éclater le public. C’est bien, ça réchauffe ! Et comme il fait moins quatre dehors, c’est plutôt pas con.

J’avais raison de trouver le chanteur un peu bizarre. Il s’assoit même à un moment donné pour jouer assis. Pas sûr que ce soit bien prévu l’histoire.. Mais bon, ça nous permet d’avoir des moments un peu plus calmes.

FRATELLIS 6

Arrive la fin du set et le rappel. Et là, je ne suis pas content du tout ! On m’escroque, on me spolie : quatre morceaux en moins que sur la set list originale ! J’en apprendrais la raison plus tard : le chanteur est malade. Ce qui ne va quand même pas les empêcher lui et ses potes de nous faire un putain de rappel avec leur titre infernal « Chelsea dagger » qui met le feu une dernière fois à l’Usine bien remplie.

FRATELLIS 5

 

 

 

BILAN DE LA SOIREE

 

deaf havana 3

DEAF HAVANA

Je ne connaissais pas. Bonne découverte dans un style différent de celui que j’écoute. Un groupe avec une réelle énergie et des morceaux qui passent bien.

 

 

 

 

 

 

FRATELLIS 1

THE FRATELLIS

Je ne regrette pas d’être venu. Même un peu diminué le chanteur a une putain de voix. Les morceaux sont d’une efficacité redoutable. A vrai dire, je les déteste parce que j’ai le morceau final dans la tête depuis trois jours et que je n’arrive pas à m’en débarrasser (il faut que ça s’arrête sinon c’est ma femme qui va se débarrasser de moi !). Je comprends que les anglais soient fans de ce groupe car ils sont vraiment fun sur scène, que ce soit sur le plan musical ou sur le plan scénique.

 

 

 

 

En ce qui concerne l’Usine, la prochaine fois si vous pouviez installer les barrières avant que les gens arrivent… surtout quand il fait moins 4 ! Mais bon, ça c’est mon côté charrieur français.

En tout cas merci pour la programmation toujours top. Je crois d’ailleurs que je ne vais pas tarder à revenir, moi !

FRATELLIS 4