Trop content d’avoir le nouveau CD de Franck Carducci à chroniquer car son album précédent tourne encore régulièrement à la maison ! Je suis donc assez impatient d’écouter le nouveau.

Eh bien, je ne vais pas être déçu ! On est toujours dans du rock prog pas chiant et méga bien fait avec des morceaux de toute beauté et la voix de Franck que je trouve magique. Le clavier et les guitares sont en harmonie avec la batterie. Mais il y a aussi, bien sûr, la basse !… Et quelles mélodies !

On n’est pas dans de la démo mais bien dans un travail d’harmonie où les solos n’arrivent pas là par pur hasard.

Bon, l’influence Genesis transparaît toujours un peu, d’autant plus que Steve Hackett est présent sur un morceau (si, si !), mais les 9 morceaux de cet album ne donne pas un sentiment de copie. Il y a des morceaux qui flirtent avec le hard-rock 70 comme « Mr Hyde & Dr Jekyll ».

Bref, un très bon début d’année avec ce « Torn Apart »… Et puis un peu de douceur dans ce monde de dingue, ça fait du bien. En plus ce qui est bien avec ce style de musique, c’est que c’est pas ma femme qui va me piquer le disque !!

Pour ma part, c’est un gros coup de cœur bien mérité pour un musicien et un CD hors norme !!

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Voilà le 6e opus  de Wednesday 13. Bonne nouvelle, on est toujours dans le metal-horror-punk glam-horror qui est leur marque de fabrique.

Et ils ne vont pas être radins car c’est pas moins de 14 morceaux qui composent ce CD. 14 morceaux qui fleurent bon le horror metal par tous les pores ! Une ambiance bien lourde et une voix râpeuse à souhait façon Alice Cooper en colère..

C’est dingue comme leur musique post-apocalyptique fait mouche dès que tu rentres dans leur univers très particulier ! Les morceaux pénètrent au plus profond de nous pour déclencher le balancement de tête.

Cet album plaira assurément aux fans du style et aux fans d’Alice Cooper qui trouve là un fils carrément barré.

Plongez dans le bad trip qui vous amène à plonger dans un monde où metal et horreur fusionnent !

Bon, bien sûr, pas un CD à passer pour faire l’anniversaire de la grand-mère… ou alors il faut que ça se passe au cimetière, lol !!

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Les Allemands d’Alpha Tiger nous reviennent avec leur troisième album et comme j’avais bien apprécié leur opus précédent « Beneath the Surface », c’est avec une certaine sérénité que j’aborde leur « Identity ».

Bon, on est toujours dans le même style heavy-metal, power metal mais je le trouve plus mélodique et moins speed-metal. Ce qui n’est pas pour me déranger, of course !

Leur musique est toujours très efficace et flirte maintenant plus avec le power-metal. On a d’ailleurs plus de titres dans cette ambiance. Et puis, on a aussi une superbe ballade comme on les aime « Closer than Yesterday ».

Hé, hé, tout pour me plaire cet « Identity »… Comme il devrait plaire aux fans de heavy mélodique.

En clair, cet Alpha Tiger là, c’est une bonne pioche !!

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Allez, on commence 2015 par une carte postale du Brésil sous la forme du nouveau CD des Brésiliens d’Angra : « Secret garden ».

Encore un changement important pour ce groupe car le « nouveau chanteur » Edu Falashi a déjà arrêté et que c’est maintenant Fabio Lione, chanteur de Rhapsody of Fire, qui a pris le relais au micro.

Je ne sais pas si c’est de cause à effet, mais ce « Secret garden » remet le côté metal power plus en avant… Bon, avec encore un côté prog’ metal mais qui du coup est moins criant que sur les derniers albums.

Après Angra continue son chemin sans perdre son âme.

Et puis la voix de Fabio se marie parfaitement à leurs compos qui, comme d’habitude, sont très mélodiques et efficaces.

En plus, sur ce CD, Angra nous fait une surprise avec un cover de « Synchronicity » de Police. Fallait oser et ils l’ont fait ! Et c’est plutôt bien réussi. Ils se sont appropriés le morceau en lui apportant un côté plus prog’ metal – si, si, c’est possible !

Sinon, à signaler la présence de Simone Simons sur le morceau titre de l’album.

On a donc un CD varié qui s’écoute sans problème. A près, moi perso, j’aime Angra et j’aime la voix de Fabio donc c’est cool !

En conclusion, les chanteurs passent mais Angra est toujours là ! Moi je dis que ce CD, rien qu’en l’écoutant, il fait plus chaud tout d’un coup… Ca doit être le second effet Kiss Cool !

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Oh putain ! D’entrée de jeu, c’est hyper espace mister Spock !! Retour en 80, en pleine vague NWOBHM où des groupes arrivaient avec des putains d’albums : Tygers of Pan-Tang, Praying Mantis, Triumph, Maiden, Demon… Demon qui a d’ailleurs sorti un album qui avait pour titre « Night Demon »… Hasard or not.

Enfin bref, la première impression est énorme ! Non seulement on est dans ce courant, mais là en plus on est dans du très, très haut niveau de cette famille. Ce « Curse of the Damned » est une putain de bombe atomique !

Ca joue grave. Les morceaux frappent entre les deux oreilles, les cheveux bougent tout seuls. Et cette voix puissante et mélodique ! Putain, ce que c’est bon !!

Méga longtemps que je n’avais pas pris une tarte pareille ! Au moment où nos héros fatiguent grave et ne sortent des albums que pour pouvoir tourner, la lumière réapparaît. Night Demon est le rejeton infanté par cette vague. Ils ont su ingurgiter, digérer et ressortir tout ça en y mettant leur fougue et leur jeunesse.. avec en plus un son actuel !

Heu, je crois que vous l’avez compris, méga coup de cœur et plus que ça même !!

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Oyé, oye, fans de blues-rock, de rock-hard boogy, Pat Travers is back et de la meilleure façon : avec un live !!

Et autant le dire, en live le monsieur, il déchire grave ! Bon, il a des titres qui le font grave comme « Rock’n’Roll Susie », « Spongille », « Crash and burn », etc… Cerise sur le gâteau, il nous sort un putain de cover de « Black Betty » pour clôturer l’album !

Ce CD montre vraiment l’étendue de ce que ce fou furieux sait faire : de la musique qui fait du bien avec des solos de guitare au touché magique, des morceaux qui déchirent entrecoupés de morceaux plus blues.

Bref, un album à posséder pour découvrir le monsieur, pour ceux qui ne le connaissent pas. Et pour ceux qui le connaissent, c’est juste du pur bonheur en barre pour ce début d’année qui commence rock à donf !

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Moi, dès lors que Jorn Lande est chanteur dans un album, je veux l’écouter. Pour moi, c’est vraiment l’un des tout meilleur chanteur de metal actuel et depuis le chef d’oeuvre « Burn the Sun » de Ark, je recherche le même plaisir. Donc depuis que j’ai su qu’il s’était mis avec Trond Holter -guitariste de Wig Wam, groupe que j’adore – pour créer un concept album opéra-rock, je ne tiens plus en place.

Et j’avais bien raison d’être impatient car autant le dire directement, dès la première écoute, j’ai adoré !

J’ai craqué sur l’univers barré du CD, l’ambiance musicale, la variété des morceaux, les compos qui te tiennent les oreilles en éveil avec plein de petites notes et d’envolées. Et bien sûr, la putain de voix de Jorn qui fait merveille dans ce genre d’univers. Dès lors qu’il n’est pas confiné dans un style purement hard-rock, Jorn nous montre tout sont talent, même si son timbre de voix est très estampillé Dio (hormis sur quelques morceaux). Sa voix est en parfaite harmonie avec la musique et celle de ses invités.

Cet opéra rock-metal est un pur bonheur pour tous ceux qui recherchent autre chose qu’un album formaté metal.

Et pour ceux qui, comme moi, trouvai que Jorn est un diamant qui a besoin d’être dans un bel écrin pour briller, ce « Dracula » est parfait.

Du coup, on a là un putain de CD !

Bien sûr, coup de cœur de Ti-Rickou pour un album qui prend une option pour le titre de CD de l’année 2015, rien que ça. Le CD à battre cette année !!

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Level 10 a réuni la fine fleur du metal allemand car en plus de Russel Allen et Mat Sinner, on trouve Roland Grapow (ex-Helloween) à la six-cordes pour nous donner du heavy-metal mélodique.

Pour le contenu, c’est bien fait, j’adore la voix de Russel, les morceaux sont variés et donc pas de lassitude après avoir écouter les trois premiers morceaux.

Après bien sûr, il faut aimer le style.

A part ça, c’est une bien bonne idée que ce « Chapter One »  qui devrait plaire aux amateurs du genre sans problème.

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Comme le nom de ce groupe ne doit pas dire grand chose à la plupart Sweet & Lynch c’est Michael Sweet, le chanteur du groupe de hard chrétien Stryper, et le guitariste George Lynch, guitariste de Dokken et Lynch Mob.  Ils se sont en plus entourés du bassiste James Lomezo, ex-Megadeth et White Lion et de Brian Tichy, ex-Whitesnake derrière les fûts.

Bon, vous vous doutez bien que tout ce beau monde n’est pas là pour faire un CD de black-metal, même mélodique, lol !!

Donc on est bien sur dans la famille hard-rock, hard FM avec de belles mélodies.

La question est : est-ce que le résultat final est bon ?
Et là, sans hésitation, je répondrai : la voix est superbe, les morceaux sont inspirés, le son est parfait, c’est hard FM mais pas mou du genoux.

Bref, moi perso, je suis fan à donf ! Donc, amies et amis hard-rockeurs avec du cœur, tu peux y aller sans risque.

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J’ai eu du mal au début avec ce groupe et son metal alternatif avec des côté post-grunge. Mais, après avoir été menacé et forcé par ma femme d’écouter leurs albums, je me suis mis a apprécier leur approche de la mélodie et la voix.

Donc, voilà mon état d’esprit à pour ce nouveau CD.

Et, bah rien de neuf sous le soleil : toujours des belles mélodies, le chanteur chante bien, il s’énerve toujours à certains moments mais ça reste gentil.

Bref, fans de Papa Roach, cet album devrait vous plaire et pour les allergiques à la musique metal jeune, le mieux est de passer votre chemin.

Comment, j’aurais dû laisser ma femme faire la chronique ? Pas possible : elle est de mauvaise foi en ce qui concerne Papa Roach ! Euh chérie, pourquoi tu mes montres la banquette ?!!!

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Tiens, les Allemands de Blind Guardian et leur speed metal power mélodique sont de retour ! J’avoue que je suis bien content car perso j’aime bien leur univers, et à moins qu’ils aient viré leur cutie, je ne devrais pas être déçu.

Gagné ! On est toujours dans le même registre speed metal power avec une touche de mélodique opéra metal !!!

Bon, vous vous en tamponnez des étiquettes ? OK, alors c’est un CD de Blind Guardian qui ne dépareille pas forcément des autres. On y trouve toutefois plus d’orchestration, c’est donc plus symphonique.

Voilà, vous avez été prévenus. Pas un mauvais CD mais moins rentre-dedans que les précédents.

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