Tagged: LE WEBZINE DE TI RICKOU

CANDLEMASS, Black Star

CANDLEMASS, Black Star
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Mediator de notation 4 pics de WTR LE WEBZINE DE TI RICKOU https://wtrmag.com/

Label : Napalm Records

Sortie : 09 mai 2025

CANDLEMASS… CANDLEMASS… Le groupe de Doom Metal suédois des années 80 ? Ils sont encore en activité ? Bah apparemment, oui. Ils sortent même un nouvel album nommé « Black Star ».

Alors en vérité, pour l’anniversaire de leurs 40 ans, ils se sont fait un cadeau. Ce n’est pas un album mais un EP 4 titres composé de 2 nouveaux morceaux bien Doom et de 2 covers : « Sabbath Bloody Sabbath » et « Forever my Queen », donc un BLACK SABBATH et un PENTAGRAM.

Perso, j’aime bien les nouveaux titres et je trouve les covers excellents. Je suis content parce que tout à coup, j’ai 40 ans de moins ! Sérieusement, ce n’est pas mal de se rappeler le rôle de ce groupe dans le Doom Metal et de se souvenir de leur premier album sorti, bien évidemment à l’époque du vinyle, sur un label français (Black Dragon).

Un reproche à ce EP ? Bah, forcément c’est un EP, donc trop court 4 titres ! J’en reveux, moi, du Doom. C’est bon dans les esgourdes. Et qui c’est qui va avoir ses 4 pics ?

STATEMENT, Sinister Thing

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Label : Mighty Music

Sortie : 09 mai 2025           

5e album des Danois de STATEMENT. Et ça commence bien, la pochette est sublime. Il est temps de découvrir ce qu’ils nous ont préparé !

On est toujours dans du Hard Rock Metal, of course. Après, je trouve ce « Sinister Thing » plus sombre et plus Metal que Hard.

Ils sont pourtant toujours très mélodiques. C’est marrant d’ailleurs parce qu’ils sont toujours dans le même style, c’est juste bien plus Heavy. Ce n’est pas une mauvaise chose en soi mais il y a un truc qui fait que je suis moins fan de cet album, moi.

Mention spéciale à « The Hive » et son putain de refrain qui reste en tête très longtemps. En résumé, STATEMENT est un groupe qui a réussi à changer mais dans la continuité. 3 pics !!!

VOID, Horrors of Reality

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Label : Shadow Kingdom

Sortie : 05 mai 2025

Et voilà, alors que j’ai clôturé mes sorties d’albums de mai depuis un bout de temps et que, comme tout le monde le sait, le Thrash ce n’est pas mon style de prédilection (pour les trucs brutos à la maison, c’est plutôt à Madame qu’il faut s’adresser), je vais vous prouver que je ne suis pas non plus hermétique au genre. Non mais ! Donc, pour commencer, la pochette est fun (et de un !), ensuite, j’aime bien ce label (et de deux) et puis j’ai un bon feeling (et de trois). Le point cuminant de ma petite démonstration personnelle, c’est : même pas peur !!

Pour la petite histoire, il y a pas mal de groupes qui s’appellent VOID mais un seul nous vient de Lafayette en Louisiane. Et en plus, il fait du Thrash technique.

Allez go, il est temps d’appuyer sur la touche play ! Et putain, j’ai mega bien fait de l’écouter ! C’est mega bon avec un énorme son. C’est aussi mega rapide, mega mélodique, il y a une putain de voix et des chœurs bien placés qui la renforcent.

Fans du premier METALLICA, de Thrash énergique et classieux avec une énergie bien brute, quasi Punk Metal, foncez sur cet album qui déboîte grave. C’est fin, énergique, sans compter qu’on a une énorme prod’.

Wouah, il y a très, très longtemps que je n’avais pas apprécié autant un album de Thrash, moi ! A ranger à côté de mon « Kill ‘em all ». J’ai du mal à croire que je fais ça mais ce « Horrors of Reality » mérite ses 4 pics. Euh chérie, tu fais quoi, là ? Tu le reposes tout de suite mon VOID ! De toute façon, c’est trop mélodique pour toi.

PS : L’album sort en version CD, tape et vinyle noir ou couleur. Il y en a donc pour tout le monde et si vous êtes, comme moi un collectionneur compulsif, tenez-vous prêts !

DEVILLE au Brin de Zinc

DEVILLE au Brin de Zinc
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Ça fait un petit moment que je n’ai pas remis les pieds au Brin de Zinc. Et pourtant, ce n’est pas ce qui manquait en termes de concert. Cependant, soit ça tombait mal, ayant aqua poney comme le dit si bien le rédac’ chef, soit pour moi, ils ne m’intéressaient guère n’étant pas assez « Metal ».

Mais lorsque j’ai vu la date de DEVILLE, un groupe que j’ai découvert il y a quelques années sur Spotify, date que je pensais reportée à la semaine des quatre jeudis, je ne pouvais pas passer à côté. Du coup, j’emmène, une fois de plus, mon copain Steve*74 dans mes bagages pour ce show scandinave.

DEVILLE au Brin de Zinc
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DEVILLE au Brin de Zinc

En effet, DEVILLE, composé du leader et fondateur ANDREAS BENGTSSON au chant et à la guitare, de MICHAEL ODEGARDEN à la batterie et des deux petits nouveaux (depuis 2022 tout de même) MARTIN NOBEL le lead guitar, et ERIK LUNDOW à la basse, vient de Malmö en Suède. Ils font dans le Stoner Rock, un style que j’adore.

Alors que la veille ils avaient posé leurs valises à la Maison bleue de Strasbourg, ils débarquent à Barberaz pour leur deuxième date en France de leur toute nouvelle tournée qui fête les 20 ans du groupe. Ils viennent pour secouer les chevelures des Savoyards et plonger la ville dans une atmosphère lourde et puissante. Ce seront d’ailleurs leurs seules dates en France sur ce tour, c’est vous dire si on est gâtés ! Le lendemain, ils feront une virée en Belgique avant de repasser par l’Allemagne, pour finir sur trois dates en Hollande et conclure au Danemark sans passer par la capitale française (d’ailleurs, je crois qu’ils n’y ont jamais mis les pieds).

DEVILLE au Brin de Zinc
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DEVILLE au Brin de Zinc

C’est sous un ciel chargé en nuages mais relativement beau, que nous partons en vue de Barberaz. Le petit vent frais nous rappelle qu’en avril on ne se découvre pas d’un fil. Une fois arrivés, nous croisons les DEVILLE en train de discuter et qui nous saluent, ça commence bien. Nous trouvons les copains – ceux qui ne sont pas en Italie pour le Frontiers Rock Fest – qu’on n’a pas vus depuis l’an passé et nous papotons chiffons… euh… musique, et parfois même appareils photos avec les copains photographes, en attendant l’arrivée du quatuor suédois.

Alors que l’équipement des Suédois est déjà sur place, le ravitaillement en bière et en eau s’installe sur scène. Le concert ne devrait pas tarder. En attendant nous découvrons la superbe guitare Gibson Explorer blanche d’ANDREAS, posée à même le sol, devant son pied de micro, les deux guitares de MARTIN placées devant son ampli à côté des fûts de MICHAEL et de son improbable peau de grosse caisse qui représente une tête de chien bien affreux. La basse d’ERIK, elle, n’est pas sur scène.

Il est 21h17 lorsqu’une petite intro retentit et qu’on voit les musiciens de DEVILLE monter sur les planches. Et c’est parti pour le show avec “Burning Towers” enchaînant sans temps mort avec “Speaking in Tongues” ! ANDREAS remercie chaleureusement le public “Thank You. We are DEVILLE from Sweden”, nous annonce t’il.

Avec plus de 500 shows revendiqués en arpentant les scènes du monde entier (ils ont même fait une mini-tournée en Australie, et partagé la scène avec de grands groupes comme RED FANG, FU MANCHU, SEPULTURA, TORCHE, MUSTASCH et bien d’autres), les gars ont du métier et ça se sent. Ca fait 6 ans qu’ils ne sont pas revenus en Gaulle. C’est donc chose faite depuis la veille et ils ont l’air, tout comme nous, très contents d’être là. Il faut dire que l’accueil que leur réserve un Brin de Zinc bien plein est vraiment bon. Il y a même des fans venus de Lyon qu’ANDREAS reconnaît.

Et on continue le travail de sape avec “Serpent Days”, morceau issu de l’album “Heavy Lies The Crown”, avant dernier album du groupe, pour enchaîner sur “Deserter”.

ANDREAS reprend la parole « Havin’ a good night ? Nice to find a beer », dit-il en montrant son verre au public « Good to be back ! ».

DEVILLE au Brin de Zinc
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DEVILLE au Brin de Zinc

Avec six albums à son actif, DEVILLE a fait évoluer son son au fil de ses vingt ans. Les grooves, les refrains et les riffs heavy qui ont fait la renommée du groupe, sont évidemment de la partie ce soir. Leur Stoner est revendicatif, rapide et puissant et porte quelques sensibilités Grunge, mais dans le bon sens. Les morceaux pèsent lourd, “Wrecked” et “God Sealed Tomb” par exemple qui, étonnamment, nous font headbanguer comme des malades. C’est fou cette ambiance !

Les titres s’enchaînent sans crier gare : “Imperial”, “Dust” et ses guitares boueuses aux rythmes rapides. Chaque morceau montre un instantané de ce à quoi ressemble la scène Swedish Psych/Fuzz/Desert Rock/Stoner Metal.

Contrairement à ce que l’on pourrait penser, quand on parle de Stoner, les musiciens jouent à 200%. MARTIN et ERIK bougent dans tous les sens, ANDREAS se frotte au public en s’approchant au plus près des planches et même MICHAEL, avec sa coupe à la BILLY IDOL, derrière ses fûts, se lève régulièrement pour enflammer le public. Personnellement j’adore cette façon de tenir la scène. On ne s’ennuie pas une seule seconde. Il faut dire qu’il y a de nombreuses influences Metal et prog’ dans la musique de DEVILLE. Ca dépote grave ! Ces rebelles du Rock déclenchent une tempête sonore avec des riffs solides et fumants.

Par moments, on croit entendre du KYUSS, du FU MANCHU voir du MONSTER MAGNET mais avec ce grain de Stoner Metal suédois et cette énergie psychédélique vibrante qui peut faire penser à du Doom. C’est absolument génial.

Le son est aux petits oignons, mais les lumières sont, comme souvent malheureusement, aux abonnés absents. Malgré tout, il y a une bonne ambiance et le public est réceptif aux puissants “Killing Time” et “What Remains”. C’est dingue mais cela fait plus d’une heure que le set à commencer et ce n’est toujours pas la fin. Ne laissant pas vraiment de répit à leurs fans en sueur, ils enchaînent ensuite avec “Rise Above” et “Sunset Capricorn”.

“Do you want more ?”, nous demande un ANDREAS toujours aussi heureux d’être là. “We got one more for you. Okay ?”. Euh… comment dire… Bien sûr que c’est OK ! Et on termine avec l’un de mes morceaux préférés, “Lava” et son hymne percutant qui finit d’ajouter encore plus de lourdeur au show.

DEVILLE au Brin de Zinc
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DEVILLE au Brin de Zinc

Mais quelle soirée mes aïeux ! Personnellement, j’ai adoré. Et à en voir la mine réjouie du public, j’ai bien l’impression de n’être pas le seul.

Une fois le set fini, le groupe va prendre l’air, laissant le soin à son manager de vendre leur merch’ qui se fait dévaliser. Nous retrouvons donc le groupe un peu éparpillé à droite à gauche un verre de bière à la main. J’en profite pour leur faire signer la setlist et les féliciter de leur prestation.

Pour nous, il est l’heure de rebrousser chemin après avoir salué une dernière fois le groupe en entier. Évidemment, un grand merci à Thomas et au BDZ, on se revoit bientôt !

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BLAZE BAYLEY + STAR RIDER AU ROCK N EAT

BLAZE BAYLEY + STAR RIDER AU ROCK N EAT
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Direction le Rock ‘n’ Eat Live de Lyon ! C’est un peu compliqué sur la route (on est à Lyon) donc j’arrive juste avant que le premier groupe joue.

Il y a un Meet and Greet gratuit avant le concert avec des séances d’autographes pour que les fans puissent faire dédicacer leurs albums de BLAZE BAYLEY ou les « The X-Factor » et « Virtual XI » d’IRON MAIDEN sur lesquels BLAZE a officié en tant que chanteur.

Cette année, on fête  le 25e anniversaire du premier album solo de BLAZE BAYLEY, « Silicon Messiah » qui est, pour ma part, un petit bijou. Pour l’occasion, BLAZE l’a réédité en vinyle coloré.

STAR RIDER AU ROCK N EAT
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STAR RIDER AU ROCK N EAT

Après cette petite séance de dédicaces et de photos, en place pour la 1ere partie : STAR RIDER. Et c’est une première bonne surprise ! C’est la première fois que je vois cette formation grenobloise, même si j’ai déjà vu plusieurs membres dans d’autres formations. On a donc sur scène : le chanteur KILLER KIM, CHAINSAW CHARLY et LATHER DETH aux guitares, ALEX RENEGADE à la basse et pour finir, LIZZY KICKS à la batterie.  

Dès son arrivée, la bande de STAR RIDER, très lookée années 80, est aux taquets. Ils ont d’entrée de jeu une bonne présence sur scène et ça fait plaisir à voir. Le set démarre avec « Outta Time », le titre éponyme de leur album. KIM, le Stéphanois du groupe, lance : « Bienvenue Rock ‘n’ Eat ! Ca fait plaisir de venir à Lyon après la victoire des Verts ! ». Ca titille la salle qui s’agite en rigolant et on entend même quelques « Allez, les Verts ». L’ambiance festive est lancée, ça chambre mais surtout, ça rigole comme on aime.

Le groupe fait évidemment la part belle à leur album. C’est très Hard-Rock et Heavy Metal mais on a aussi, sur certains titres, quelques petites touches de Power Metal.

La salle est chauffée à blanc, d’autant plus qu’une bonne partie connait visiblement très bien leurs chansons, et c’est avec regrets qu’ils ne peuvent pas nous faire comme d’habitude « Too Fast to Die » de leur EP. En tout cas, un set qui à mon goût est passé trop vite. Hâte de les revoir !

C’est l’heure du petit entracte et de ma traditionnelle petite bière bien fraîche qui fait du bien. J’en profite pour dire bonjour à tout un tas de potes qui ont fait le déplacement.

BLAZE BAYLEY AU ROCK N EAT
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BLAZE BAYLEY AU ROCK N EAT

Et c’est vite l’heure de BLAZE BAYLEY. Yeah !!!

Curieusement, il n’attaque pas la set list par un titre de « Silicon Messiah » comme on aurait pu s’y attendre (vu que c’est l’anniversaire du disque) mais par 10 secondes de « Blood and Belief » de son 3e album. Après avoir chauffé d’entrée le Rock ‘n’ Eat qui est archi plein, il nous sort un 2e titre et là, toujours pas de « Silicon Messiah » ! C’est donc « Circle of Stone », titre éponyme de son dernier album qu’il nous fait.  

Je m’impatiente de son album anniversaire mais il nous balance « Ghost in the Bottle », encore un morceau du dernier album. Ce n’est pas grave, je sais qu’on va être gâtés après.

Et enfin, pour mon plus grand plaisir, il attaque « Ghost in the Machine » Ca y est, la machine est lancée pour « Silicon Messiah » ! C’est un morceau sur lequel il fait chanter le public. En même temps, c’est un titre qui se retient facilement et qui s’y prête bien. On a ensuite « Evolution » puis « Silicon Messiah » qui est le 3e titre de l’album. Donc là, ça y est, on est en plein dans l’anniversaire.

Sur sa lancée, BLAZE continue avec « Born as a Stranger », « The Brave », « The Hunger ». 5 titres d’affilée de l’album, je suis comme un fou ! Mais ce n’est pas fini, il finit par « Stare at the Sun » qui est mon morceau favori. J’ai attendu 3 chansons avant qu’il s’y mette mais là, on a tout l’album ! C’est vraiment sympa pour les fans.

La salle est chauffée à bloc. Les fans sont ravis de fêter aussi bien cet anniv’. BLAZE BAYLEY nous dit « qu’à cette occasion, il a ressorti le vinyle en bleu et rouge (il était en noir lors de la 1ère sortie), qu’il aurait pu le ressortir en noir parce que c’est moins cher mais que, malgré le fait qu’il ait été malade, il voulait vraiment remercier ses fans en créant un bel objet ».

Il nous sort ensuite encore un titre du dernier album « The Year beyond this Year » puis 2 titres, toujours du dernier album, « Absence » et « Mind Reader » suivis de « Warrior » et « Pull Yourself up » de « War within Me » (2021).

Il remercie encore le public et ses fans d’être toujours là. Il nous dit qu’il est venu jouer beaucoup de fois à Lyon et qu’il est heureux de revoir ses amis. « Je vous remercie beaucoup, mes amis ! ». Il est, comme toujours, très chaleureux et tactile avec son public.

Après nous avoir bien remerciés, il attaque une reprise de MAIDEN, « Wratchild » et on a droit à un petit hommage à PAUL DI’ANNO, récemment décédé. Ce n’est pas un morceau qu’il joue d’habitude et pour moi qui suis un grand fan de d’IRON MAIDEN, c’est un vrai plaisir car je n’ai pas entendu ce morceau en live depuis la tournée « X-Factor » en 96.

BLAZE attaque « Man on the Edge » qui est le titre phare de « The X-Factor ». Lorsque l’intro du morceau commence, on est bien chaud, aux taquets mais BLAZE s’arrête à la fin de l’intro et il fait style, « On ne va pas jouer ce morceau ». Sauf que finalement, si ! Tout le monde est aux anges. On continue sur la période MAIDEN avec « Futureal », le single de « Virtual XI ». Il s’avance en bord de scène, penché sur la foule. Des gars le retiennent pour empêcher qu’il tombe pendant qu’il touche les mains et les bras des gens. Il semble se nourrir de leur présence, de leur énergie, et puis je crois que c’est vraiment un morceau qu’il kiffe.

Pour finir, il attaque le « Doctor, Doctor » de UFO qui est l’intro des concerts de MAIDEN depuis des années (de mémoire, la première fois c’était en 2006). Tout le monde reprend la chanson en chœur. Qui ne connait pas ce titre ? C’est un super final.

BLAZE BAYLEY remercie tout le monde et présente ses musiciens habituels, les musiciens d’ABSOLVA, avec CHRIS APPLETON qui nous a encore fait un show exceptionnel à la guitare et son frangin LUKE à la basse ainsi que MARTIN McNEE à la batterie. Je conseille à ceux qui ne connaissent pas ABSOLVA d’aller jeter une oreille sur ce qu’ils font parce que c’est un super groupe. BLAZE finit en s’auto-présentant en français, ce qui fait sourire le public avec le charme de son accent. Il remercie, en français encore, le public d’être venu.

Mais quelle super soirée ! Je n’ai tellement pas envie que ça se finisse que je reste bien 1h de plus à discuter avec les potes et les musiciens. Du coup, pendant le trajet retour, même s’il est déjà presque 2h du mat, je n’arrive pas à m’empêcher de chanter « Doctor, Doctor » à tue-tête ! 

Merci le Rock ’n’ Eat Live !

BANDEAU WTR LE WEBZINE DE TI RICKOU 
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