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RAVEN

Il y a un bon moment que je ne suis pas allé au Marché Gare à Lyon. Mais là, ce n’est franchement pas le meilleur moment pour y aller : non seulement l’OL joue juste a côté pour la Champion’s Ligue mais en plus tous les alentours du Marché Gare sont en travaux.

Donc coton pour y arriver… et pour se garer aussi !

Et quand j’arrive, je vous le donne en mille, les copains de Saint-Etienne, HEAVYLUTION, ont déjà commencé à jouer. 

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HEAVYLUTION

Bon, je rentre directement dans leur show. Ca faisait vraiment méga longtemps que je ne les avais pas vus évoluer en live. Ils ont vraiment pris de la bouteille. Ils ont plus d’assurance et du coup ils sont plus à l’aise sur scène.

Le chanteur qui officie dans la famille MAIDEN, HELLOWEEN est très à l’aise. Perso, j’aime beaucoup sa manière de chanter.

Leurs nouveaux morceaux font mouche sur le public qui apprécie en connaisseur.

Evidemment, et comme souvent lorsque j’ai loupé le début d’un set, je trouve ça très court. Trop court même. Je me console en me disant que j’aurais forcément l’occasion de les revoir bientôt en live.

Bon, là je peux dire bonjour aux copines et aux copains. Il faut dire que même si on n’est pas 200 personnes dans la salle ce soir, la plupart des présents sont des habitués des concerts, des connaisseurs qui n’auraient pas louper les corbeaux pour tout l’or du monde. Heu… tout l’or du monde, là j’exagère peut être un peu !

Mais bon, tout ça pour dire que le public qui est devant la scène est un public de fans de hard ‘n’ heavy et qu’ils attendent de pieds ferme un groupe que la plupart d’entre nous n’ont jamais vu en live.

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RAVEN

Et dans un instant, ça va être réparé ! Ladies and Gentlemen, venus du début des années 80 et accessoirement d’Angleterre, RAVEEEEEEEEEEN !!!!!

Et c’est parti ! Putain ça part fort, très fort ! Le trio n’est pas là pour la déco mais bien pour nous mettre des tartes dans la tronche !

Nous, on ne s’attendait pas à ça. On est venus voir et écouter un groupe qui a une quarantaine d’années d’existence et on tombe sur des fous furieux qui nous assènent leur NWOBHM sans relâche, sans temps mort. Leur musique, elle te prend, te transporte et quand les RAVEN prennent trois secondes de répit, c’est pour nous chauffer encore plus en nous disant qu’on est très bons !

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RAVEN

Whaou, on est tous KO debout ! Et ce n’est pas fini.

Là, le bassiste se livre à un exercice pas forcément nécessaire : non pas un solo de basse mais un carnage sonore de basse ! Ca fait rigoler le guitariste et le batteur – batteur qui se cache les oreilles et feint la douleur ! Bref, du fun et de l’énergie.

Et c’est reparti dans le style « les freins, c’est pour les lâches ». Ils sont dégoulinants de sueur mais ne lâchent rien. La set list est en béton armé : des anciens morceaux aux plus récents, c’est une tuerie.

En plus, ils nous annoncent à la fin du show que dans cinq minutes ils seront au stand merchandising ! Ils sont vraiment incroyables !!

Lorsque les lumières se rallument, on a tous le même sentiment d’avoir assister à un moment rare, à un de ces concerts qu’on raconte aux plus jeunes en disant : « Moi, j’y étais ! ». Et franchement, en arrivant je n’aurais pas cru ça possible.

Pas le temps de reprendre mes esprits que c’est direction le stand merch’ où le guitariste et le bassiste chanteur sont là pour faire des photos, signer des CDs et des galettes d’un autre âge. Ils sont  méga nazes mais heureux et super adorables avec les fans et n’hésitent pas à prendre des poses ! 

Bref, un méga happy end !! Un méga merci à BASE PRODUCTIONS pour ce moment d’exception.

Et voilà c’est malin, je ne sais plus où est ma voiture. C’est bêta, ça ! Mais je m’en fous ; c’était trop bon ! Même meilleur que dans mes souvenirs de l’époque. Putain, un concert où j’aurais eu les boules grave de ne pas y être allé !!

Ca y est, j’ai retrouvé ma voiture, il y a des corbeaux dessus… C’est bizarre, non ?!!

 

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Pour que je me dirige sur Lyon à 17 h, en plein bordel, il me faut une grosse, très grosse motivation. Et une prestation live, même courte, de STEVE ESTATOF, ça en est une suffisante !

Donc direction Gorge de Loup et plus particulièrement le Campus René Cassin car STEVE doit s’y produire en faveur d’une association caritative « Le Blé de l’Espérance » qui oeuvre au profit des enfants hospitalisés.

ESTATOF le rockeur au grand cœur, n’a pas pu résister à venir chanter quelques morceaux, tout seul avec sa guitare. Le plus important, c’est de jouer. Il a prévu de nous interpréter d’anciens morceaux, des covers mais aussi quelques nouveaux morceaux qui apparaîtront sur son prochain album. Cet album tant attendu doit d’ailleurs sortir bientôt et vue la qualité des deux morceaux que j’ai écoutés, je suis assez pressé d’entendre le reste.

Quel plaisir de revoir STEVE, même tout seul sans ses frères… et même si je suis assis bien confortablement dans un fauteuil d’amphi.

Je ne m’attendais en fait pas du tout à ça. Je pensais que ce serait un gros truc en extérieur avec une prestation acoustique. Là, on est plutôt en prestation chanteur avec une bande son. Mais bon STEVE a déjà donné dans ce genre d’exercice… Sauf que cette fois-ci, ce n’est pas pour la télé ! En tout cas, il en faudrait plus pour le déstabiliser. Encore une fois, il est méga à l’aise. Peu importe les conditions, il se donne à fond.

Heu, comment on fait une pause ?!! Ah ! Une petite pause buffet avec petits fours en open bar ?!!! Trop dur la vie de rocker ! Vive les concerts de charité !

Mais bon. On repart pour un STEVE survolté avec ou sans guitare pour trois morceaux. Putain, ça fait du bien de le revoir comme ça, heureux de faire du rock !

Et moi, j’hallucine : je vois STEVE sauter de la scène, courir à travers l’amphi, tout en jouant sa reprise en français du « Lithium » de NIRVANA ! Trop fort !!! Pas sûr que tous les gens présents s’attendaient à ça !

Allez, c’est fini. Ou pas. La chanteuse qui doit clôturer la soirée lui a proposé de faire un duo et bien sûr pas sur une reprise de SONY AND CHER mais sur le « Knocking on the Heaven Door », version GUNS AND ROSES, of course !! En voilà une riche idée pour finir en beauté.

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Allez, un petit tour au bar avant la vente aux enchères – eh oui, c’est un concert de charité !

Et c’est votre serviteur qui remporte un joli T-Shirt dessiné et signé par STEVE ESTATOF himself. Quoi ? Non chérie, on s’est mal compris, ce n’était pas pour toi. Ce n’est pas parce que je l’ai acheté pour aider une bonne cause que je dois me le faire piquer mon T-shirt, non mais !! (Cf : Ti-Rickou en mode midinette) 

Et là, c’est vraiment fini.

Même si les conditions étaient très spéciales, ça m’a permis de voir ce que STEVE nous prépare pour son nouvel album et que les morceaux sont top. Au risque de me répéter, j’ai hâte d’entendre les autres ! L’autre méga bonne nouvelle, c’est que STEVE ESTATOF is back. Préparez-vous à la tornade du punk-rockeur au grand cœur !

Allez, il est maintenant 21 h, les lyonnais sont pour la plupart rentrés chez eux même si un certain nombre glande encore en terrasse, vue la chaleur. C’est beau une ville quand il n’y a pas d’autos !!!

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Et en cadeau, la set list !

– GARDE MOI
– I WANT TO GET US
– TAKE ME FOREVER
– TES ETATS D’AME
– LITHIUM
– APHONEM
– KNOCKIN’ ON THE HEAVEN DOOR (en duo avec Muriel Leone)

 

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Bon, direction la Capitale des Gaules, Lyon, et plus précisément le Marché Gare. Heu, j’ai du mal à me retrouver, les Halles ont été démolies et le quartier entier a été remodelé… Non, je ne suis pas perdu, juste désorienté !! Bon, la patinoire est toujours là.. Maintenant deux ou trois tours du pâté de maisons et j’arrive enfin à me garer.

Comment ça, ça sent le « j’ai raté la première partie » ? Pas faux. Mais l’important, c’est que je sois là pour le début de FREAK KITCHEN, et là pari réussi !!

Et c’est parti ! Sous les « goody, goody » du public bien présent ce soir, MATTIAS, CHRISTER, BJORN montent sur scène et le show commence. Les FREAK KITCHEN en live, c’est carrément le délire, et musical et visuel. MATTIAS nous balance une série de speachs. Euh, il n’a pas du être prévenu que les français et l’anglais ça fait trois  ! D’autant plus qu’il nous les sort en version accélérée ! En clair, il n’y a plus grand monde qui suit !

Mais bon, on comprend l’essentiel et l’essentiel c’est de délirer avec eux ! Il faut dire que leurs morceaux s’y prêtent un max ! On va bien sûr avoir droit à des morceaux issus de leurs différents albums avec entre autre un « Goody, goody » très attendu par tout le monde.

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FREAK KITCHEN, en plus d’être un groupe de putains de musiciens, c’est aussi un groupe de vrais clowns qui délirent grave. Ce soir, le délire c’est que MATTIAS va se mettre à la batterie et BJORN à la guitare. Heu, le le truc c’est que BJORN est pieds nus et que ses deux copains n’ont pas arrêté de cracher sur scène !.. Heureusement, il n’a pas du le voir !!

En tout cas, ils nous prouvent qu’il ont plusieurs cordes à leurs arcs ou… plusieurs baguettes !!!

Bref. Chacun reprend sa place et c’est reparti pour du pur FREAK KITCHEN ! Des morceaux qui groovent, qui rappent presque, qui fleurent bon le métal et qui permettent à MATTIAS de nous prouver encore une fois qu’on peut être un putain de guitariste et ne pas être chiant ni se la péter « musique prise de choux », accessible uniquement aux musiciens. Chez nos fous furieux, rien de tel : du fun et du plaisir à jouer.

Bon, on arrive à bientôt deux heures de set et malheureusement, c’est fini. On a tous le sourire-banane aux lèvres, le genre d’expression qu’il n y a qu’un concert de FREAK KITCHEN qui puisse te le donner.

Ils vont vite venir nous rejoindre au stand merchandising pour se prêter avec humour aux photos et aux dédicaces. Le petit plus qui termine cette soirée à merveille.

Le temps de dire au revoir aux copains et il est temps d’aller voir s’il n’y a pas de « madames qui attendent le bus » assises sur ma voiture, car si le quartier a changé de look, le reste n’a pas bougé !

Goody, goody les gens !

Bon c’est malin maintenant, je parle le FREAK KITCHEN couramment !!

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Allez c’est reparti pour la case Lyon et pour la case Kao. Bon là, c’est un petit peu moins drôle car il neige. Comment, je commence à préparer une excuse ? Je ne sais pas si c’est une excuse mais bon c’est vrai.

En tout cas, à mon arrivée, plusieurs options possibles vu qu’il n’y a personne devant la salle : soit le concert n’a pas lieu ici (ça serait bêta), soit il a été annulé (ça serait encore plus bêta), soit il est déjà commencé (ce qui serait aussi ballot). Bien sûr, c’est cette dernière option qui est la bonne ! Ne commencez pas à rigoler, le groupe de première partie n’a pas encore fini de jouer.

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J’arrive à temps pour les voir finir. Je suis un peu surpris, je m’attendais à du prog’ alors que WOLVE joue plutôt du post grunge. Mais bon, comme vous l’avez compris, je ne vais pas avoir le temps de faire une analyse complète.

En plus, je ne suis pas forcément un grand spécialiste du style ! En tout cas, les parisiens le pratique plutôt bien. La voix est agréable et ceux qui sont là depuis le début n’ont pas quitté la salle, ce qui est plutôt bon signe. Je me rattraperai en écoutant leur EP.

Bon, ce soir le Kao n’est pas blindé. Même avec balcon fermé, on peut circuler facilement. Ce qui est cool pour moi pour les photos amis moins cool pour l’organisateur.

De plus, d’entrée de jeu, en regardant le public, ça m’étonnerait qu’il y ait du slam endiablé ! Mais bon d’un autre côté, vous allez me dire que ce n’est pas ce qu’on demande à ce genre de soirée. Et puis, il n’y a quand même pas beaucoup de petits hardos dans la salle. Elle est où l’ouverture d’esprit ?

Bon, je ne vais pas attendre bien longtemps, FISH et ses copains entrent sur scène. Je ne sais pas pourquoi, d’un seul coup, je me prend un méchant coup de vieux. Je l’aurais croisé devant la salle, je ne l’aurais pas reconnu. J’avoue quand même que la dernière fois que j’avais vu FISH sur scène, c’était pour la première tournée de MARILLION en France dans les 80 et des brouettes, donc c’est un peu normal qu’il ait changé, lol !

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On va avoir droit ce soir à un voyage temporel dans son univers avec des morceaux issus des différentes périodes du début de sa carrière solo très axée GENESIS, MARILLION à ses périodes limite rock world music. Pour finir… on y reviendra plus tard. Le tout est accompagné par la projection sur un écran placé derrière la batterie d’images et de pochettes des singles du groupe et de belles images. On aura même droit à des fleurs et à des papillons.. Oh ! c’est trop bien !

En tout cas ce qui est clair, c’est que FISH a toujours un putain de charisme. Les morceaux en live sont de toute beauté. Comment vingt-cinq minutes c’est un petit peu long pour un morceau ? Le choix des morceaux est plutôt axé sur les morceaux qui sont plutôt calmes, mais je me laisse quand même très facilement emmener.

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FISH va bien sûr essayé de communiquer avec nous. Pas sûr que de nous demander si on comprenait mieux l’Allemand ce soit une brillante idée mais bon, au moins il essaye ! En tout cas, ça reste un putain de showman. Il va même descendre dans la salle pour chanter au milieu du public.

Bref, le concert se déroule tout en douceur et sans longueur.

Evidemment, on terminera le concert par des morceaux de devinez qui ? MARILLION ! Allez, mon petit bémol à moi, c’est que ce ne sont pas forcément ceux que j’aurais aimé écouter, mais bon on s’en fout, on aura eu un bonus !

Voilà le rappel est fini, les lumières se rallument et moi je me sens tout drôle. La question se pose : va-t’il venir voir les fans et faire quelques petites photos ? La réponse est oui mais d’abord il faut qu’il termine sa douche. Et avec quelqu’un qu’on a surnommé FISH parce qu’il restait trop longtemps dans son bain, la douche peut durer longtemps ! Le temps de faire le tour de la salle et de voir qu’il n’y a plus de flocons qui tombent, et il est déjà en train de se plier à l’exercice.

Heu, je n’ai pas forcément bien tout compris, mais je ne suis pas forcément sûr qu’il refera une tournée. Dommage, car c’est quand même un moment assez magique de le voir et surtout de l’entendre en live. FISH est vraiment un des chanteurs les plus sous-estimés du rock.

Un grand merci à Roger et à BASE PRODUCTIONS  de nous avoir permis de vivre ce moment. Surtout quand on sait que ce n’est pas dans un but mercantile.

SERIOUS BLACK
SERIOUS BLACK

Bon, les affaires (heu… les concerts) reprennent et donc direction Gerland et le Kao. Et miracle, pas de neige en vue, pas de match de l’OL non plus ! Et non seulement je suis à l’heure mais je suis même en avance… D’ailleurs, ça à l’air de surprendre tout le monde dans la longue file d’attente !

Les portes ne sont pas encore ouvertes et on voit bien que ça va être bien plein ce soir. Bon, ça fait déjà une bonne raison pour être à l’heure, quitte à se les geler grave.

En plus, ce soir il y a trois groupes et je ne veux pas prendre le risque de louper le groupe d’ouverture : SERIOUS BLACK, le groupe de ROLAND GRAPOW. Et qui c’est qui est pile devant la scène lorsqu’ils arrivent ? Lol !!

SERIOUS BLACK
SERIOUS BLACK

Et ça part direct dans les morceaux composant leur premier CD. On est en plein dans le thème de la soirée, du power happy metal. Le son est bon, nickel !

…Sauf que j’ai une putain de crève, que la salle est bien remplie et qu’il fait chaud, très chaud ! Du coup, je vais avoir du mal à rentrer dans le show si bien fait qu’il soit. Je vais finir leur set vers le bar et la sortie.

Dommage car les morceaux tapent vraiment bien en live.

ORDEN OGAN
ORDEN OGAN

Changement de plateau court et place à ORDEN OGAN et à leurs looks de guerriers de l’ancien temps.

Pas de surprise avec eux ; je les ai vus plusieurs fois et ils restent égaux à eux-mêmes. Ils sont contents de jouer et en plus ils ont un vrai bon contact avec le public. Et pour le public, il y a de quoi faire puisque maintenant la salle est full de la scène au balcon !

Le set est assez court mais comme il fait super chaud et que la crève ne me lâche pas, je ne suis vraiment pas dedans.. Et donc je n’apprécie pas la prestation d’ORDEN OGAN à sa juste valeur. 

ORDEN OGAN
ORDEN OGAN

Bon, je vais essayer de me reprendre pour HAMMERFALL en allant boire un coup. Non, pas du houblon ! De l’eau… et bien fraîche !!

Ca va reprendre et maintenant il n’y a plus qu’à se frayer un passage pour retourner devant la scène. Opération plus simple à dire qu’à réaliser vue la foule bien compacte. Mais bon, je suis trop fort et les gens sont très gentils. J’y arrive !!

HAMMERFALL
HAMMERFALL

Juste à temps pour l’arrivée d’HAMMERFALL sur scène. Ca me fait tout drôle car la dernière fois que je les ai vus, c’était au Transbordeur et ils avaient sorti le grand jeu sur scène. Là, du coup, c’est plus… dépouillé !

Comme d’hab’, ils attaquent fort ! HAMMERFALL sur scène, ça dépote grave tout en restant mélodique et festif. On va bien sûr avoir droit à un tour d’horizon de leurs différents albums.

HAMMERFALL
HAMMERFALL

Dans la salle, l’ambiance est très bonne. Et bien sûr, très chaude ! Trop pour certaines qui pètent carrément un câble. Tiens, en voilà une qui aura le temps de se rafraîchir… à l’extérieur !!

Le morceau homonyme annonce la fin du set. Enfin, la fin avant le rappel. HAMMERFALL nous joue « Templars of Steel » et « Hearts on Fire » et c’est fini.

HAMMERFALL
HAMMERFALL

Allez, les lumières se rallument, la salle se vide tout doucement et les stands merchandising, eux, se remplissent. D’autant plus que les membres des groupes se prêtent au jeu des photos et des dédicaces et qu’ils le font avec un plaisir évident.

Pour ma part, moi je ne vais pas en profiter. Je ne tiens plus debout et je n’ai qu’une seule envie pour le moment : retrouver mon lit !!

Alors d’accord, j’ai un peu survolé ce concert et je n’ai pas pu en profiter pleinement, mais au moins, j’y étais et j’ai des souvenirs en plus !