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Bon, retour à la case Lyon. Mais cette fois, c’est le Ninkasi Kao la destination ! Là, j’ai prévu large pour pas louper le début des hostilités. Non mais, je ne vais pas me faire avoir à tous les coups non plus ! Heu, c’est quoi ces panneaux lumineux qui me disent qu’il y a un match ce soir à Gerland ?!!!!

Ouf, fausse alerte ! Il a du y avoir un bugg !

Donc pas de problème. Je suis pile à l’heure pour le début du set du trio des punk-rockers suédois de JUNKSTARS.

Et c’est in the face ! De l’énergie rock-punk sans fioritures. Le Kao qui se remplit petit à petit est très réceptif à leur musique sans prise de tête. Un très bon groupe pour commencer cette fête au rock énergique.

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Bon, c’est déjà fini. Le temps de souffler un peu et c’est reparti avec les SUPERCHARGER. Là, on est plus dans du hard-rock’n’roll. La chaleur commence à monter dans le Kao et leurs morceaux bigrement percutants n’y sont pas pour rien !

Les musiciens jouent à donf et sont méga heureux d’être là. Et bien sûr, Lyon y est réceptif. Du coup, ça commence sérieusement à bouger. Le groupe assure vraiment. Bref, on a encore passé un cran. Yes !!

L’attente est un peu plus longue cette fois mais la sono déverse de la bonne musique donc pas de problème.

Ca y est, c’est reparti pour la tête d’affiche, mes suédoise préférées, j’ai nommé les CRUCFIED BARBARA !

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CRUCIFIED BARBARA

Et d’entrée de jeu, le changement est impressionnant ! Les filles on pris de la bouteille – euh, pas dans un sens péjoratif, dans le sens présence sur scène. Jeu plus carré tout en gardant un côté hargneux. Même les anciens morceaux sonnent différemment. Il est vrai que la première fois où je les avais vues en live c’était en 2005 et qu’elles étaient très jeunes !

Pas qu’elles soient vieillies non plus, faut pas déconner quand même ! Mais effectivement les années sur les routes et les enregistrements de nouveaux disques leur ont apporté une expérience et une maturité qui font la différence.

Même la set list  a été bien pensée avec un mélange de nouveaux et d’anciens morceaux. C’est très réussi ! Les CRUCIFIED BARBARA ont une présence sur scène tout bonnement énorme !

Un putain de show que les fille nous ont délivré ce soir ! Le public bouge et il y a une super ambiance. Y’a du monde même si le Kao n’est pas tout à fait rempli. En tout cas, ceux qui sont venus ont bien eu raison de le faire car MIA et ses copines sont vraiment en grande forme !

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CRUCIFIED BARBARA

Bref, un gros concert d’un gros groupe ce soir ! Quand ça s’arrête, ça fait tout drôle. On en veut encore du hard-rock de nos copines ! Mais bon, il se fait tard et c’est vraiment fini..

Les gens se précipitent sur le stand merchandising pour acheter albums, T-Shirts, etc.. pour avoir un souvenir de cette soirée .

Voilà, je suis vidé mais vraiment heureux car les CRUCIFIED BARBARA m’ont vraiment mis une grosse, grosse baffe.

Un grand merci à BASE PRODUCTIONS et bien sûr à Roger pour nous avoir permis de vivre ce moment rare avec une affiche de cette qualité !

EDGUY TOBIAS B
EDGUY

Allez, retour à Lyon ! Mais là, c’est au Transbordeur que ça se passe. Et, avant même de partir, je sais qu’il y a de fortes chances pour que je ne sois pas à l’heure pour voir le premier groupe : HOLY CROSS.

… Et, malheureusement, c’est le cas. J’ai même fait pire… J’ai aussi loupé le début de MASTERPLAN ! Heu, là, ce n’est vraiment pas ma faute. Mais, comme je suis gentil, je ne balancerai pas le coupable.

Bon, relativisons. HOLY CROSS, je les vois quand même souvent, je les ai vus il n’y a pas si longtemps et j’aurai à coup sûr l’occas’ de les revoir bientôt.

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MASTERPLAN

Pour MASTERPLAN, je n’ai quand même pas loupé trop de morceaux et du coup, je suis rentré direct dans leur show. La dernière fois où je les ai vus en live, c’était avec JORN LANDE au chant donc je voulais voir ce que ça donnait avec RICK ALTZI.

Il faut dire qu’il s’en sort plutôt bien. Même s’il n’a pas la même présence ni la même voix. Mais bon, rien de choquant et le public est ce soir tout acquis à leur cause. Les morceaux de la set list sont béton. ROLAND GRAPOW est toujours impérial, même si je le trouve un peu moins présent scéniquement.

Mais bon. Un bon concert de MASTERPLAN donné dans un Transbo en config’ avec rideau. Surprenant ? Pas tant que ça car à quelques bornes de là, ANATHEMA se produit au Kao ! En tout cas, ici c’est bien parti.

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HOLY CROSS

Je profite de la pause pour aller me faire chambrer par mes copains stéphanois de HOLY CROSS qui sont en train de dédicacer CD et affiches. Cool pour eux, ça marche bien et ceux qui sont arrivés à l’heure et qui ont, eux, eu la chance de les voir ont visiblement apprécié. D’un coup, je me sens l’envie de balancer le nom du coupable, moi !!

 

Ouf, la sonnerie m’évite une séance de torture pour me punir de mon manque de ponctualité !

EDGUY TOBIAS A
EDGUY

Il faut regagner la salle. EDGUY va commencer.

Et ça part à cent à l’heure ! EDGUY et son happy métal  attaque très fort et en live, c’est vraiment terrible ! TOBIAS SAMMET, outre le fait d’être un putain de chanteur et un excellent compositeur, est aussi un putain de frontman. Y’a pas à dire, il sait comment se mettre le public dans la poche et le chauffer à blanc ! Il nous dit à quel point il aime Lyon et que la prochaine tournée il veut revenir ici.

Bon c’est vrai qu’il communique beaucoup. Pour certains , il parle même trop ! Mais pour ceux qui ne s’en seraient pas encore rendu compte, les groupes allemands en général parlent pas mal entre les morceaux ! On ne leur a pas expliqué que les français et la langue de Shakespeare, ça fait deux ?

EDGUY I
EDGUY

Sinon, il se passe toujours quelque chose sur scène. Sur le côté de la scène, il y a un énorme bonhomme gonflable – un peu le EDDY de EDGUY – qui représente la pochette du dernier CD. Le chanteur fait une pause de quarante cinq secondes pour un changement de costume et nous revient avec un veste napoléonienne. Main dans la veste à l’image dudit Napoléon en plus !

On a droit à un solo de batterie. Euh, là, je suis un peu moins fan !

Le clou du concert pour moi, c’est quand TOBIAS se met à siffler l’air du « Gendarme à St-Tropez »  et que toute la salle entonne la musique derrière lui ! Et c’est parti pour le Transbo à St-Trop’ avec un enchaînement sur « The Trooper » de MAIDEN. Court mais efficace pour repartir sur leur répertoire.

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EDGUY

La set list tape fort et les petits nouveaux de leur dernier album en date y sont comme des poissons dans l’eau. Le groupe est vraiment en grande forme ! Scéniquement, c’est toujours impressionnant.

Bref un putain de concert qui me fait encore dire qu’EDGUY, c’est vraiment un groupe à voir live. D’ailleurs, il n’y a qu’à regarder les gens sortir avec une méga banane sur le visage et aller se ravitailler en T-Shirts du groupe pour en être convaincu !!

Une bonne pause fraîcheur dans ce monde de brutes !

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EDGUY

Un méga merci à BASE PRODUCTIONS, et à ROGER WESSIER en particulier, pour ce moment. Vraiment dommage qu’il n’ait pas mieux été récompensé pour cette programmation par un nombre d’entrées plus important…

Voilà, c’est fini. Je repars moi-aussi avec un sourire banane et je ne peux m’empêcher de siffloter l’air du « Gendarme à St-Tropez » !

 

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Allez, ça faisait longtemps ! Direction Lyon et plus précisément le Kao. Cool, il n’ y a pas de match de l’OL ce soir, ni de grande messe à la Halle Tony Garnier. Résultat : gâche facile et donc… je suis à l’heure !! Si, si, et même en avance : les portes ne sont pas encore ouvertes.

J’ai donc tout mon temps pour me positionner pour la première partie : 7 WEEKS. Là, on est plutôt dans du stoner. Un stoner moderne bien fait par une formation avec un clavier, une guitare, une basse et une batterie. Assez efficace sur scène.

Le clavier a du mal a rester statique et veut aussi faire le show. Mais, même si musicalement ça joue, j’ai du mal à rentrer dans leur musique. Certainement le côté moderne de leur stoner…

Bon, le temps de respirer le bon air frais de Lyon (lol !) et c’est reparti. Les TRIGGERFINGER montent sur scène.

Heu… ils sont en costume, voire même en costume cravate pour le bassiste et le batteur ! Le batteur ressemble à un Beatles. Je suis soudain pris d’un doute : c’est bien le bon groupe ? Ces mecs ont joué au Hellfest ? Je commence à me dire que Saint-Etienne n’est qu’à quarante cinq minutes de voiture et qu’en partant maintenant je serais à l’heure pour le début de CARROUSEL VERTIGO au Thunderbird…

TRIGGERFINGER 1

Mais je n’ai pas le temps de me poser d’autres questions. C’est parti ! Et d’entrée, mes doutes partent en fumée ! Evaporés par la folie et l’énergie du trio ! Le guitariste chanteur bouge partout, monte devant la batterie, sur le côté de la scène. Le bassiste, colosse chauve, est impressionnant. Le batteur martèle ses fûts avec une rage énergique.

Leur style de musique est difficilement descriptible : du rock, hard metal tendance hypnotique par moment, tendance blues à d’autres. Le Kao assez bien rempli par un public très éclectique – en regardant la foule, difficile de deviner le thème de la soirée – réagit et l’ambiance est très chaude.

Même le solo de batterie n’est pas chiant ! En plus, truc marrant, le bassiste déplace un spot blanc pour mieux éclairer le batteur.

Bref, tout est réuni pour que une fois le concert finit, tu te dises : »Wah, c’est déjà fini ? ». Une bonne baffe donnée par un groupe différent. Et même si je ne suis toujours pas capable de mettre une étiquette à leur musique, ça valait vraiment le déplacement ! Je ne regrette vraiment pas d’être venu (et d’être resté) car les belges de TRIGGERFINGER, outre le fait d’être des putains de musiciens, font une musique bien à eux. Et c’est franchement rares par les temps qui courent !

Euh, toujours une réserve pour le look du batteur quand même !! Quoi ? Je suis futile ? J’ai encore mal aux yeux à cause de sa veste, moi !!

Allez ! Deux bonnes nouvelles et une mauvaise. La mauvaise, c’est que les vacances se terminent, la première bonne nouvelle c’est qu’il fait enfin beau et la deuxième, c’est que les concerts reprennent !!  Et ça c’est une putain de bonne nouvelle car je commençais sérieusement à être en manque, moi ! Tellement en manque que je suis parti à toute berzingue…  sans mon appareil photo ! Pas malin pour un mec qui veut faire un report.. Mais ne vous inquiétez pas, on reprend les bonnes vieilles méthodes d’avant : heureusement il y a l’I-Phone, l’I-phone !!! 

Pour cette reprise des hostilités, direction Lyon et un nouvel endroit tout nouveau pour moi et  pour nos concerts : le Blogg. Déjà le point méga positif, c’est que ce n’est pas galère pour se garer, il y a même un parking géant ! Le Blogg a une super terrasse et une grande salle avec une scène… Bon, pas haute la scène, mais c’est une scène quand même.

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J’ai à peine mis le premier pied sur la terrasse que je vois Monsieur ADAM BOMB qui est déjà là pour me dire bonjour…. et surtout pour vendre ses désormais légendaires tickets de tombola. Non, non, non, pas pour gagner une tringle à rideaux mais pour gagner un beau T-shirt ADAM BOMB. Pas con le père ADAM sur ce coup-là : une centaine de billets à un euro… Il est amorti son T-shirt !!

Bon, il faut dire que certaines personnes vont avoir du temps pour lui acheter des billets car avant qu’il ne monte sur scène, on va avoir droit à deux groupes de covers.

Moi, je trouve que j’ai de la chance : c’est vachement agréable d’être en terrasse. Et en plus, il y a un DJ qui nous passe de la musique ! Seul petit bémol : on ne sait pas du coup quand les groupes commencent à jouer. Pour ceux qui finissent, on le sait : c’est quand on voit tout le monde ressortir !

ADAM 5

Bien entendu, je ne vais pas me faire un report sur nos amis les tribute bands, un à MAIDEN l’autre à DIO. La question n’est même pas de savoir si c’est bien fait ou pas bien fait.  Ca m’embête un peu car, sur ce coup-là, il y a dans chacun de ces tribute des musiciens dont j’apprécie les groupes de compos.

On a visiblement un problème depuis quelques temps : d’un côté, les musiciens ont du mal à trouver des dates pour leurs groupes de compos et de l’autre, les salles sont quémandeuses de groupes de covers. Du coup, tout le monte se met aux tribute pour pouvoir jouer.

Bref, à long terme, c’est le serpent qui se mord forcément la queue.

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Allez ! Il est tard, mais on s’en fout. ADAM BOMB monte enfin sur scène ! Et d’entrée de jeu, je sais que ce soir ça va le faire.

Il est accompagné d’un putain de bassiste. C’est le bassiste qui jouait il y longtemps dans TKO avec ADAM. Et putain, il n’a rien perdu ! Quel bassiste et quel frontman !!! Ca se marie parfaitement avec le jeu et  la musique d’ADAM. Ils sont épaulés par un batteur plus jeune mais bien en phase avec nos deux compères. Et putain, ça cogne !

Alors bien sûr, on va avoir droit aux incontournables d’ADAM BOMB, que ce soit en compos, en covers… ou en feux d’artifices divers !

Au niveau pyromanie, il est encore pire qu’avant ! Il met le feu partout : à sa guitare, aux cymbales et il allume des pétards (non Bob, pas ceux qui font rire !) sans arrêt.

De plus, il est dans une méga forme. Quel plaisir de l’entendre nous faire « Eruption » ou « Je t’aime Bébé ». Un show mené de main de maître avec la guitare qui clignote, la bandoulière qui clignote et les tenues invraisemblablement glam d’ADAM !

Bien sûr, il n’oubliera pas le tirage du gagnant du bôôô T-Shirt ADAM BOMB. Sniff, c’est même pas moi !

Allez, un petit rappel signé LED ZEPPELIN, « Rock’n’Roll », et c’est fini pour ce soir.

Moi je suis encore sur le cul. Cà doit bien faire quinze fois que je le vois en live mais là c’est sûr je viens d’assister à l’une de ses meilleures prestations ! Pitié ADAM, ne vire personne (ne riez pas, ADAM est aussi rapide à la guitare qu’il l’est pour changer de line up) !

ADAM 4

Bon voila, maintenant il est très très tard et faut pas déconner, j’ai quand même pas mal de route, moi !

Long live rock’n’roll !

 

TRICK OR TREAT 1
TRICK OR TREAT

Le temps de mettre mon casque, mon bouclier et ma lance dans le coffre de la voiture, et c’est parti direction Lyon et le Transbordeur. Et là, surprise (non ! je n’ai pas loupé le groupe de première partie !). La surprise, c’est que le concert n’aura pas lieu comme prévu dans la partie TransClub mais dans la grande salle du Transbo. En plus, ils vont jouer sur la grande scène, ce qui est quand même beaucoup plus cool. Ca veut dire qu’on est au moins 700 dans la salle. Cool que les gens aient décidé de se bouger les fesses pour venir combattre les loups dans la neige ! 

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TRICK OR TREAT

La première partie commence. Les italiens de TRICK OR TREAT, un groupe dont je suis déjà bien fan, entrent sur scène. Avec leur power métal mélodique, ils se collent d’entrée tout le monde dans la poche et nous emmènent dans leur univers. Il faut dire que leurs morceaux sont à la fois rapides, mélodiques et entraînants, que le chanteur a une voix magnifique, que les musiciens s’éclatent vraiment sur scène et qu’ils sont heureux d’être là et de jouer.

Le chanteur arrive à délirer avec la salle et le public est très réceptif. Le métal de TRICK OR TREAT se prête vraiment à ce genre de soirée car leurs morceaux sont taillés pour le live. Il est clair que ce groupe apporte un peu de fraîcheur au style.

Ils sont un peu dégoûtés de ne pas jouer plus longtemps et la plupart du public aussi. Une excellente entrée de soirée. Bien content de ne pas les avoir loupé, moi ! 

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TRICK OR TREAT

Mais il est déjà temps de faire la pause. Ca me permet de papoter un peu avec Dominique Leurquin, le guitariste de LUCA TURILLI’S RHAPSODY OF FIRE. Cool d’apprendre que sa main se rétablit et qu’on aura bientôt la chance de le revoir sur scène. Ca, c’est une bonne nouvelle !

Et c’est reparti ! Sur fond de bannière de leur dernier album, SONATA ARCTICA arrive sur scène. L’introduction du groupe par une voix enregistrée de présentation à l’américaine va donner le ton au concert, c’est-à-dire bien fait, très pro. Les lights sont bien sûr très beaux, le son très bon, les morceaux très bien joués, les musiciens techniquement très en place et  le chanteur très en voix. Le show est très rodé, très propre.

SONATA ARCTICA 1
SONATA ARCTICA

Et voilà, c’est peut-être là le problème : c’est un peu trop propre, un peu trop réglé. Ca manque un peu de folie. Comme à chaque fois, il y a un petit peu trop de speech entre les morceaux, mais bref, je vais dire : « comme d’habitude » ! Pas de surprise, quoi. Comment ça je suis dur, me dirait ma voisine de concert qui pense que SONATA ARCTICA c’est tellement bon qu’il n’y a rien à redire ?

C’est peut-être aussi ça le bémol sur ce genre de concert ; c’est qu’à part la fin de concert dont ils profitent pour faire faire la hola au public ou lorsque le chanteur mime le berçage d’un bébé avec les bras pendant les applaudissements du public, il n’y a pas de surprise…. Mais ce ne sont pas forcément les surprises que les fans de SONATA ARCTICA sont venus chercher et, pour la majorité, ils ont trouvé ce qu’ils étaient venus chercher. Pour ma part, je dois les avoir trop vus car du coup, j’en demande un peu plus…

SONATA ARCTICA 2
SONATA ARCTICA

Mais bon, il faut tenir compte du fait que leur show arrive après une belle série de groupes du même style puisqu’on a enchaîné RHAPSODY OF FIRE, GAMMAY RAY et FREEDOM CALL en peu de temps et que les SONATA ARCTICA sont eux nettement moins dans le festif.

Trop de power métal tuerait-il le power métal ?

Allez, 1H30 de concert et le job a été fait. J’ai passé un bon moment même si je ne suis pas sûr de me souvenir de ce concert dans deux mois… Mais bon, content pour eux qu’il y ait eu du monde qui se soit déplacé et que ceux qui se sont déplacés soient repartis heureux d’être venus.

Quant à moi, je m’en vais reposer mon casque et mon bouclier puisque cette belle série de concerts power métal est terminée !

En tout cas, un grand merci aux Derniers Couchés pour cette soirée !

 

SONATA ARCTICA 3
SONATA ARCTICA