Monthly Archives: avril 2015

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MESSALINE

Allez c’est reparti ! Direction Lyon et cette fois-ci, c’est le Jack Jack à Bron. Ouverture des portes à 18h30. Heu non, pas la peine de rigoler bande de mauvaises langues, je suis à l’heure !

Bon, il faut préciser que si ça commence aussi tôt, c’est que les bressans de MESSALINE ont été rajoutés à l’affiche suite à l’annulation de dernière minute du BEAST IN BRESSE la semaine dernière.

Et comme pour MESSALINE, c’est le concert de présentation de leur nouvel album, c’est juste inloupable.

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MESSALINE

Après une présentation rapide de la soirée par le maître des lieux – Fabrice, le guitariste de BACK ROADS – les hostilités peuvent commencer.

MESSALINE a hâte de jouer et de conjurer le sort. Et d’entrée, ça se voit !

ERIC, le chanteur, est très rentre-dedans et y va à fond suivis de ses acolytes JAIME, JOHN et MICKAEL qui ne sont pas là pour faire tapisserie. Ca envoie grave la purée.. bressane of course !

On va bien sûr avoir droit à des morceaux du petit nouveau… Bon en même temps faire la présentation d’un nouvel album sans en jouer des morceaux, ça aurait fait bizarre !

Et en plus, le petit nouveau passe très bien l’épreuve du live. Même la ballade où le public arrivé pour les soutenir reprend déjà en choeur le refrain.

Le set passe à la vitesse d’un poulet qui aurait manger des champignons qui font rire. Un petit « Souffler dans le cul de Lucifer » pour le clôturer et c’est fini.

Pas de rappel malgré la demande du public car malheureusement, ils n’en ont pas le temps : il reste encore trois groupes qui doivent monter sur scène.

Mais bon, ne boudons pas notre plaisir, c’est déjà plus que cool de leur avoir permis de faire ce concert de sortie d’album ce soir. Et c’était très bien : court mais intense et bien exécuté par des musicos hyper motivés.

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THE MUFFIN’ TOPS

Bon, un court entracte et c’est au tour des lyonnais de MUFFIN TOPS d’entrer sur scène.

Heu, on ne peut pas dire que j’étais au taquets sur ce coup-là. Premièrement, groupe inconnu au bataillon des groupes que je peux aimer et deuxièmement on me les a vendus pour être un groupe de pop-rock. Si on rajoute à ça le look assez passe-partout des musiciens et une robe noire classe avec des chaussures rouges pour la chanteuse, on peut trouver mon état d’esprit d’avant set : un morceau et vamos to the bar !

Heu, grossière erreur ! On est dans du rock metal très bien fait avec une chanteuse qui envoie bien et qui a une vraie voix, les morceaux sont vraiment sympas et les musicos sont bien en place scéniquement.

Là, je craque pour la chanteuse… Aïe, pas la tête ! Sur sa voix, sa présence et le contraste qu’elle offre entre son look très jeune fille de bonne famille et la panthère rock metal déchaînée ! Trop bien !

Très bonne surprise que ce MUFFIN TOPS ! Ca donne envie de se pencher sur leur EP.

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BACK ROADS

Allez encore une courte pause pour faire un tour au stand merchandising des groupes avant l’arrivée des organisateurs de la soirée, j’ai nommé BACK ROADS !

Là bien sûr, on est dans la famille rock sudiste, hard blues qui fait bouger les pieds et nique la nuque. Et nos copains et copine le pratiquent de bien belle façon, alternant covers savamment choisis (dont un putain de rock ‘n’ roll de LED ZEP de derrière les fagots) à la sauce BACK ROADS avec leurs compos personnelles qui frappent juste.

Les musiciens prennent du plaisir et putain ça se ressent grave ! En plus, ils ont vraiment bien pris leurs marques depuis la première fois où je les avais vus.

A l’image en fait de leur chanteuse qui est vraiment impressionnante – même sur des morceaux méga compliqués à interpréter – avec une énergie à la JANIS JOPLIN et un putain de charisme qui fait mouche sur le public bien présent ce soir (200 personnes et des brouettes à vue de nez).

Bref, tout le monde est chaud bouillant ! En plus, le son est très bon. Le set tire à sa fin mais personne n’a vraiment envie que ça s’arrête. Mais bon il y a encore un groupe qui n’a pas jouer…

Donc revoilà le moment de la pause réhydratation. Comment ça, c’est de la musique qui donne envie de boire du houblon ? Je ne sais pas, moi ! Je retourne faire un tour au stand merch où ça signe et ça photographie à tour de bras car BACK ROADS est déjà là pour se prêter au jeu. Et ils le font avec leur gentillesse légendaire.

J’en profite pour présenter mes excuses à Fabrice le guitariste, que j’avais un peu engueulé il y a plusieurs mois pour avoir programmé cette date à quelques jours du  BEAST IN BRESSE. Mais là, je dois reconnaître que s’il ne l’avait pas fait, MESSALINE n’aurait pas pu présenter son nouveau CD. Donc voilà. Il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis. Son idée s’est avérée bien inspirée et en plus il a eu la générosité de rajouter les potes de MESSALINE à la fête et ça, c’est vraiment une très bonne chose !

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NATCHEZ

Bon ça c’est fait, et avant d’être obligé de me flageller, je rejoins les NATCHEZ, nos rock sudistes du Nord. Si, si, c’est possible !.. Ainsi que vont nous le prouver les deux guitaristes, stetsons collés sur la tête à la cowboy et le bassiste qui ressemble à un indien !

Et c’est parti pour un tour dans leur longue discographie, basée sur le mode « le rock sudiste est mon copain ». Et putain, ça fait du bien !

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NATCHEZ

Bien sûr, avec leurs années d’existence et leurs nombreux concerts, NATCHEZ sait tenir la scène et mettre de l’ambiance en live. Sans artifices, juste avec les tripes et leur cœur.

L’ombre de BLACKFOOT, MOLLY HATCHET, 38 SPECIAL et bien sûr LYNYRD SKYNYRD plane ici. LYNYRD qu’on va d’ailleurs retrouver avec une putain de version de « Free bird » pour clotûrer le set…

Heu, finalement pas ! Car chez les sudistes, quand on fait la fête, on y va à donf ! Les BACK ROADS les rejoignent sur scène pour deux morceaux et les deux autre groupes montent sur scène pour le salut final ! Oh Yeah ! Là ça peut être fini !

Bon, tout ce beau monde se retrouve pour les séances de photos et d’autographes.  Of course, on n’est pas des sauvages, ma brave dame, chez nous, le public est respecté !

Pour ma part, je prends difficilement congé des copains. C’est dur de sortir de la salle et de se rendre contre qu’on n’est pas au Texas mais à Bron. L’avantage, c’est que je ne suis pas obligé de rentrer à cheval !!! Hi yaaaa !!!

Un grand merci à BACK ROADS pour cette soirée et pour leur énorme gentillesse et un spécial merci à Sylvaine pour son putain de chili !! Allez les amis, I hope to see you on the road again !!

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NATCHEZ

Heu non non, ce n’est pas une blague : pour ma reprise des concerts, ce sera en pays hardcore, na ! Si, je vais bien et non je n’ai pas de séquelles qui m’ont rendu maso !

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MAFIA RD’CORE

C’est juste que premièrement, pour une fois, le concert n’est pas super loin de chez moi, que de deux MADBALL était vers la fin des 80’s, l’un des leaders de la scène hardcore new-yorkaise et que de trois, je suis carrément en manque de concerts !

Donc, direction cette sympathique salle de la Tannerie pour mon voyage aux pays des rappeurs metalleux !!!

Pour commencer mon voyage initiatique, ce sont les mâconnais de MAFIA ‘RD CORE qui montent sur scène devant un public très clairsemé. 

Comme vous le savez, je suis un grand spécialiste du genre (lol !!!) donc voilà mon avis de néophyte : un groupe énergique qui envoie la purée, avec un chanteur qui a bien la patate et une voix puissante.

Bon, j’ai mis un petit bout de temps à comprendre dans quelle langue il officiait, mais bon dans le style c’est plutôt bien fait et surtout supportable pour moi !!!

 

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FIRST TRY

Allez, après une petite pause, reprise des hostilités avec un groupe de Lyon FIRST TRY. 

Heu… alors là, plusieurs manières de voir le truc : soit comme mon voisin du style « Putain, c’est méga bien ! Ca envoie ! Ils déménagent grave les deux chanteurs, C’est d’la balle, ils sont méga bons »,

soit à ma manière, directe, avec la diplomatie d’un char d’assaut : « C’est très bordélique, et musicalement et scéniquement. Que ce soit l’un ou l’autre des chanteurs, musicalement c’est pareil, ça me donne envie de me transformer en autruche pour me planquer les oreilles sous terre… Ou, plus simple à réaliser, d’aller visiter la zone fumeur !! ».

Sinon, vous avez aussi la version diplomatique : « c’est plutôt bien fait, mais encore un peu jeune tout ça ! ». 

Bon bref, pas aimé du tout !

 

La pause se termine. La salle s’est un peu remplie – il y a vers les 230 personnes – pour l’arrivée sur scène des new-yorkais.

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MADBALL

Et ça part comme un taureau lâché de son box dans une arène ! MADBALL, ça déménage. Le chanteur ne tient pas en place et heu… le public non plus. Il y en a qui confondent la scène avec le plongeoir de la piscine !… Sauf que c’est pas de l’eau dessous mais des gens. Si on rajoute à ça le pétage de plomb d’un dixième qui se lâchent en oubliant qu’ils ne sont pas tout seul, on a un début de set explosif !!!

En étant objectif, c’est bien fait. Le chanteur bouge comme un diable, les autres musicos sont bien solides et j’apprécie quelques morceaux.

Après, musicalement, c’est vraiment basé sur l’énergie brute et ce mélange métal brutal et voix saccadée, ce n’est vraiment pas mon truc. En plus en live, c’est encore plus violent que sur CD.

Il a quand même fallu qu’un gros lourd ait pris ma tête pour une piste d’atterrissage pour précipiter ma sortie de l’arène. Et comme dirait Roger Glover dans « L’arme fatale » : « je suis vraiment trop vieux pour ces conneries-là » !! Donc, je me mets en retrait vers la sortie pour pouvoir voir le reste en toute sécurité.

J’ai bien fait de rester quand même car quelques minutes plus tard, c’est un gamin d’une dizaine d’années qui monte sur scène. Et il s’éclate tellement que le chanteur finit par lui demander son prénom. Cool l’américain !

MADBALL 1
MADBALL

Le concert continue avec le même schéma : voix rappée et gros métal. Moi, et ben j’ai atteints ma limite. Voilà, je voulais voir MADBALL et je les ai vus ! J’ai eu confirmation de ce que je pensais : je n’ai jamais été assez punk ou fan de thrash – et encore moins de rap – pour apprécier le hardcore, moi !

Bon, je vais me cantonner à mes groupes de hard-rock, de heavy métal, de hard-FM, de glam-rock ou de blues-rock !

C’est quand déjà ARENA à Lyon ?!!!

 

Bon voilà, c’est fini. Les fans du style sont contents et c’est ça le plus important, non ??

Chroniques Metal : Avril 2015

HARDCORE SUPERSTAR 

HCSS

Label : Gain Productions

Sortie : 27 avril 2015

Pas évident pour moi de chroniquer ce groupe car si j’en ai été très fan à leurs débuts, que j’ai aussi aimé leur virage moins sleaze et plus mélodique, à chaque nouvelle livraison j’ai peur qu’ils n’aient tournés vraiment FM.

Eh bien, ce n’est pas encore pour aujourd’hui ! Ce HCSS est dans la continuité des derniers albums et moi perso, ça me va bien. Même « Fly » leur ballade passe bien. Bref, un CD qui ne va pas reconvertir ceux qui avait décrocher et qui en même temps ne va pas décevoir les fans.

Non chérie, je ne trouve pas qu’il est quand même plus mou que les autres ! Non, je ne boude pas, je ne te parle plus, c’est pas pareil !!!
Et ce morceau que tu trouves bizarre, c’est « Touch the Sky » et moi j’aime bien. Ah ! Si toi aussi tu aimes « Growing old », je veux bien te reparler !


MESSALINE

Illusions Barbares

Label : Brennus

Sortie : 04 avril 2015

Oyé, oyé braves gens, le quatrième album de MESSALINE, le groupe de hard-rock, hard prog de Bourg-en-Bresse est arrivé ! Oyé, oyé braves gens, les textes y sont toujours dans la langue de Molière et sont toujours aussi recherchés !

La voix d’Eric Martelat est plus chantée et les morceaux tout en étant très heavy sont encore plus mélodiques, ce qui est peut-être du aux solos de Mickaël Colignon très présent sur cet opus.

Cet album est très recherché et donne une part importante aux textes car, en plus de faire du hard-rock, Messaline aime nous raconter des histoires, nous faire vivre ou revivre des aventures. Qu’elles soient ludiques ou plus graves, elle ne sont jamais oubliées au détriment de la musique. Et c’est bien là que se trouve la principale différence entre Messaline et les autres groupes de métal.

Le petit côté prog est toujours là bien-sûr en continuité avec leur précédent album. On y retrouve la présence, plus discrète cette fois-ci, de Christian Decamps le chanteur de Ange pour une messe noire. En parlant de Ange, on note aussi la participation amicale de Hassan Hajdi pour un solo sur l’un des morceaux… Heu non, je ne vais pas vous donner le titre du morceau, ceci est une chronique participative.

Enfin, si je devais décrire cet « Illusions barbares », je dirais qu’il est dans la continuité d »Eviscérer les Dieux » avec un petit virage du côté d’Absurd – à part son côté plus noir et moins festif dans les textes – et un côté plus hard dans la musique. Ah oui, chose indispensable à un groupe de hard : la ballade ! Et pour Messaline, ce sera « Mehlinn-Hâ ».

Donc voilà, Eric Martelat, Mickaël Colignon, Jaime Gonzalès et John Bailly ont encore prouvé qu’on pouvait faire du hard français différent. Bref, Messaline c’est une AOC à lui tout seul !

Du hard made in Bresse, of course ! Une différence dont on peut être fiers ! Oyé, oyé braves gens, qu’on se le dise !!


IMPELLITERI

Venom

Label : Frontiers Music

Sortie : 17 avril 2015

♥ Coup de coeur Ti-Rickou

Avec ce nouvel Impelliteri, on est dans du hard pour fans de Rainbow ou Malmsteen… en version qui envoie le bois.

Eh oui, Chris et les siens la jouent assez musclée sur ce « Venom ». Bon, en même temps, c’est un très bon guitariste, les morceaux sont bons et la voix de Rob Rock est parfaite pour cet exercice.

Une très bonne surprise ce CD. Heu à éviter en conduisant car c’est un coup à se retrouver pied au plancher à 220 km/h ce truc !!

Allez, coup de cœur de moi !


ZODIAC

Road Tapes – Vol. 1

Label : Napalm Records

Sortie : 17 avril 2015

♥ Coup de coeur Ti-Rickou

Que dire de plus que je n’ai déjà dit sur Zodiac, une de mes mégas baffes de 2014 en hard 70, blues-hard ?

Et voilà qu’ils me reviennent avec un live ! Alors là, c’est la cerise sur le cake. C’est trop, trop bon ! Et en live c’est encore meilleur !

10 pépites à écouter très fort et sans modération !!

A recommander à tous fans de hard-rock classique et à tous amoureux de rock tout court. Heu, comment j’en fais trop ? Re-heu, non je ne crois pas, Zodiac, c’est trop d’la balle !! Et bien sûr, c’est un coup de coeur vraiment mérité. Vivement le volume 2 !!


SHAWN JAMES AND THE SHAPESHIFTERS

The Gospel according to Shawn James and the Shapeshifters

Label : Autoproduit

Sortie : 07 avril 2015

Bon OK, pas facile de donner le nom du groupe à un pote ! Mais à part ça, ce groupe de l’Arkansas c’est du lourd de lourd : de la pochette magnifique au contenu stoner mélangé à du blue-grass avec des touches psyché, à l’ambiance bien pesante à souhait.

Il faut vraiment écouter ce groupe de toute urgence !


FM

Heroes and Villains

Label : Frontiers Music

Sortie : 17 avril 2015

♥ Coup de coeur Ti-Rickou

Cool, je suis en terrain connu avec FM, groupe de hard FM que j’apprécie beaucoup !

Et ce n’est pas avec ce « Heroes and Villains » que je vais arrêter !

De superbes mélodies, une putain de voix magique, des morceaux qui font voir la vie en rose, des refrains qui restent en tête… Bref, du hard FM comme je l’aime, mélodique mais avec des corones !! Même les ballades ne sont pas chiantes !

Heu, plus je l’écoute plus je l’aime ce CD ! Et oui, voilà : encore un coup de cœur de moi !

En plus ce qui est cool c’est que je n’ai même pas besoin de le cacher, pas assez violent pour que ma femme me le pique ! Tout bon, ça !


KISKE  / SOMERVILLE

City of Heroes

Label : Frontiers Music

Sortie : 17 avril 2015

Encore un chapitre de la collaboration de Michael Kiske (ex-Helloween) et Amanda Somerville (Avantasia), avec Mat Sinner à la basse et Magnus Karlsson à la guitare.

Donc bien sûr, c’est méga bien fait. Le mélange des genres opère plutôt bien.

Ca s’écoute très bien, c’est très bien chanté mais la bonne question est : est-ce que je vais m’en souvenir dans un mois ? Dans 15 jours ? Bon, dans une semaine ? Heu oui, je sais que pour toi c’est dans les 10 minutes, chérie !!!


58 SHOTS

You don’t mess with the Lion

Label : DP Production

Sortie : 27 avril 2015

♥ Coup de coeur Ti-Rickou

En provenance de Belfort, les 58 Shots nous livrent leur premier album. Les mecs œuvrent dans du classic rock pour les uns ou du hard 70 pour les autres.

Dans leurs morceaux, il y a plein d’influences de Lynyrd Skynyrd à Ten Years After. C’est influencé 70’s mais tout ça est bien mélangé et transformé en pur 58 Shots. Ca donne 12 morceaux de pur bonheur avec des putains de riffs, des solos percutant et une voix bien rock. Et avec tout ça, un gros son !

Le résultat est instantané, ton corps bouge des doigts de pieds aux cheveux et ça fait un putain de bien ! Les morceaux rentrent direct dans ta tête et tu n’as qu’une envie, c’est de les ré-écouter !

L’album est très homogène alors que les morceaux ne sont pas tous construits pareil, et ça ce n’est pas évident à réaliser ! Bref, pas de lassitude possible. Il y a même une ballade dans la grande tradition sudiste qui est de toute beauté.

58 Shots nous amène la preuve qu’on peut être français et faire du classic rock en anglais. Ils ont vraiment réussi leur coup car ce CD, c’est une vraie merveille et je pèse mes mots !!

Amis du style, foncez vous procurer cet album ! Pour les autres, allez-y aussi, c’est pour le bien de vos orteils !

Bien sûr pour moi, c’est un méga coup de cœur !!!