Monthly Archives: février 2018

Bon, je ne suis plus en manque de concerts mais THERION ça fait un bail que je ne les ai pas vus en live, donc je craque et direction Gerland pour me rendre au Kao !

La voiture connait le chemin, je suis presque en pilotage automatique. J’ai dit presque parce que je me suis aperçu à 17h que l’ouverture des portes était à 18 et que déjà ça allait être compliqué d’être à l’heure. Mais pour une fois, les Dieux du Metal sont avec moi, je me gare juste devant la salle. Plus près, je suis à l’intérieur !

Effectivement, j’arrive pile poil pour le début du premier groupe,  MIDNIGHT ETERNAL. Comme d’habitude, j’ai mega bossé mon dossier, je ne sais absolument pas quel style c’est et ce qu’ils vont nous faire. Tiens, c’est bizarre, c’est du metal symphonique avec chanteuse. Bon, c’est des américains.

Musicalement, ça tient la route. La voix de la chanteuse n’est pas désagréable… Après, à part le fait que la chanteuse porte un bustier à pointes, c’est le genre de groupe que dans une semaine j’aurais probablement oublié. Comme dirait l’autre : ni envie d’aller me jeter sur l’autoroute ni envie de rester. Mais bon ça ne dure pas longtemps car ce soir il y a quatre groupes à l’affiche.

Le Kao est bien rempli. Pour un dimanche soir, c’est cool ! Vue la nouvelle config’ de la salle ouverte sur la première salle du Ninkasi, le public est bien dispatché. Le balcon est bien-sûr ouvert. On en profite pour papoter des prochains concerts en attendant le prochain groupe, NULL POSITIV.

Bon, comme pour le premier groupe, je ne les connais ni d’Eve ni d’Adam. Visuellement déjà, ça le fait. Tous en noir avec le visage peinturluré de traits noirs. Pareil pour la chanteuse qui en plus est très grande avec un regard à faire flipper Freddy Kruger. Moi en tout cas, elle me fait flipper. Musicalement, ils sont dans un metal qui flirte avec le goth et l’indus, un style bien à eux. C’est bien fait. Ca commence bien.

Bah ça commence bien jusqu’à ce que la chanteuse commence… à chanter ! Alors là, je ne suis pas un spécialiste du genre pour définir sa voix ou son style de voix. C’est un mélange de death et de voix venue de l’au-delà. J’ai d’un seul coup de la sueur sur le front, les poils qui se dressent tout seuls. Maman, au secours ! Je suis gentil, je n’ai rien fait de mal. C’est vachement dommage car quand elle prend une voix chantée, c’est plutôt bien. En plus, comme je le disais au début, j’accroche bien à leur univers mais pour moi la voix est rédhibitoire. Je précise que je donne là mon point de vue personnel. Pour certains dans la salle, ce sera peut-être le meilleur groupe de la soirée.

Bon, eux aussi, même s’ils jouent un peu plus longtemps que le premier groupe, ça ne sera pas long.

On ne va pas attendre trop longtemps pour le troisième groupe : IMPERIAL AGE. Encore une fois, changement total de décor. Les musiciens et musiciennes arrivent en costume typée OSI et si on pouvait avoir un doute, dès le début du premier morceau, on sent une forte influence russe dans la voix du chanteur. Même s’il chante en anglais.

Eux, ils œuvrent à un chanteur et deux chanteuses et font du metal symphonique, voire dans l’opéra metal. Ce soir, ils vont nous interpréter l’intégralité de leur album qui est un context album.

Je ne sais pas si c’est l’influence russe, la qualité des musiciens, la voix des chanteurs et chanteuses qui collent parfaitement à la musique mais je rentre directement dans leur monde, que ce soit visuellement – elles sont habillées plutôt sexy ! – ou musicalement. Il n’y a en plus pas de temps mort. Moi, j’accroche bien et effectivement, je trouve que ça apporte une fraîcheur au style. Bref, une bien bonne découverte à approfondir. IMPERIAL AGE va jouer à peu près une heure et je n’ai même pas eu envie d’aller au bar.

Allez, dernière pause de la soirée. Et là, question existentielle : hamburger or not ? C’est vrai ça, à force de voir les gens en train de manger, ça me donne faim ! Non, je ne suis pas qu’un ventre !! Mais bon, je résiste.

Allez, THERION attaque. Là, je suis en terrain connu. Euh… ou pas car depuis la dernière fois que je les ai vus, le line up a un peu changé. Mais bon, c’est toujours aussi efficace. Les lights sont très beaux, le son est lui aussi bon, surtout au niveau de la table de mixage.

Après l’inconnu de la soirée pour moi était la set list. Bien-sûr, elle sera composée des différents albums du groupe et de titres du dernier opus. Du coup, eh ben c’est très beau, c’est toujours très bien fait mais au bout d’un moment, je me rappelle les bons hamburgers et je me dis que je verrai aussi bien assis à une table en mangeant. Surtout que THERION est parti pour jouer deux heures !

Contrairement à la personne qui a décidé que slammer, bouger à mort dans un concert de THERION, c’était une bonne idée et qui ne comprend pas pourquoi il s’est fait jeter, moi je trouve qu’il y a une bonne ambiance. Les gens s’éclatent dans leur coin en ne faisant chier personne. Le public réagit en applaudissant. Bref, ce qui est plutôt logique dans un concert de THERION. C’est sûr que celui qui veut slammer ou pogoter n’a pas forcément compris le style.

Moi je regarder tranquillement les musiciens. J’adore la voix du chanteur. Je suis bien, tranquille assis à apprécier le concert. Bon, je vais me rapprocher quand même pour la fin du show. Dans la salle, il fait chaud. Le concert touche à sa fin. Les fans du groupe sont contents, trouvent que ce concert est largement supérieur au dernier que THERION avait donné à Lyon (euh, moi comme c’était la tournée « Les fleurs du mal », j’avais piscine ce soir-là !).

La salle se vide pour remplir la zone des stands merch’ où, bien-sûr, les T-Shirts et les albums de THERION s’arrachent comme des petits pains tout chauds… de même d’ailleurs que les CD de nos copains russes IMPERIAL AGE. Ce groupe s’est fait ce soir de nombreux fans qui en profitent pour se faire dédicacer l’album et faire des photos avec eux. A souligner que les trois groupes de dernières parties étaient dispo à leur  stand dès qu’ils avaient fini de jouer. Très bon état d’esprit.

En ce qui concerne les musiciens de THERION, je vais juste dire qu’ils y en a qui ont bien fait d’attendre, ils en ont été récompensés ! Un petit coucou à la famille qui était venu spécialement de Pau pour cette date, je suis content pour eux.

Voilà la soirée est finie, il ne neige pas. Je suis bien content d’être revenu voir THERION et d’avoir découvert un groupe que je ne vais plus lâcher.

Merci les Sounds like Hell pour cette super soirée !

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  • la chanteuse du groupe null positiv

MAIDAVALE @ le Brinc de Zinc – 16 février 2018

Les semaines s’écoulent et ont tendance à se ressembler. Déjà plus de la moitié du mois de février est passé et le temps file aussi vite qu’une lettre à la Poste. Qui a dit lentement ?

La neige est dans les montagnes, la pluie dans les plaines, le temps est maussade et prévu tout pourri jusqu’en fin de semaine. Enfin bref, pas de quoi avoir la banane. Ou peut-être que si, étant donné que des suédoises de MAIDAVALE passent au Brin de Zinc ce soir. Alors, go fast comme dirait VULCAIN, et direction Barberaz pour un nouveau concert !

La neige annoncée pour la fin de semaine ne s’est pas manifestée, et le temps apocalyptique attendu n’est pas venu. D’un côté, vu ce que je m’apprête à aller voir, l’apocalypse n’est pas vraiment faite pour ce style musical. Arrivé sur place, il y a moins de monde que la semaine précédente. Pour trouver où se garer, c’est assez simple. Ouf, vu qu’ils ont tendance à commencer à l’heure au BDZ et que je suis juste dans les temps, cela tombe bien !

Mais au fait, MAIDAVALE, c’est quoi MAIDAVALE ? A part bien-sûr le nom d’un quartier du centre de Londres. Venues de Fårösund, une petite localité de 800 habitants se situant au nord de l’île de Gotland dans la mer Baltique, MAIDAVALE c’est quatre suédoises qui jouent dans un style musical qui s’étend du début des années 60’s à la fin des années 70’s. Mais le tout avec un son moderne du blues d’origine. J’ai hâte de voir ça !

Le temps de rentrer dans la salle, le constat est le suivant : il y a beaucoup de monde. C’est tout de même respirable ce qui est une bonne chose, contrairement à samedi dernier. Pas de première partie ce soir, ce qui permet de prendre le temps de papoter entre copains et copines. Ah, mais c’est bien beau de passer du temps à discuter, seulement nous encombrons le devant de la scène et nos copines suédoises ne peuvent pas y accéder. Oups, désolés.

MAIDAVALE @ le Brinc de Zinc – 16 février 2018

Passé ce petit inconvénient, les filles, humbles et discrètes au possible, s’installent sur le parterre du Brin de Zinc. Une grande batteuse brune qui va se cacher derrière ses fûts, une petite guitariste blonde, une grande bassiste rousse, toutes les couleurs de cheveux sont présentes. Tiens, ils n’ont pas de chanteuse ? Ah si, une brune (encore) de petite taille, cheveux de jais descendant au-dessus des épaules et habillée tout en noir qui se positionne dos au public. Je n’avais pas fait attention. Il faut préciser, qu’il y a peu de lumières ce soir. Alors, tout de noir vêtue et sans éclairage, difficile de la voir. Lol.

Les MAIDAVALE font leurs derniers réglages et c’est parti. Dès les premières notes de « Walk In Silence », la magie opère et nous voilà projetés corps et âme dans leur univers.

Le vrombissement de la guitare, tel un bourdon qui cherche à sortir d’une maison par une fenêtre fermée, la rythmique hypnotique basse/batterie combinées, tout cet enchevêtrement musical fait des malheurs. Je dodeline de la tête, je sens un gros trip me prendre au cerveau, la fumée qui sort de la machine à fog me fait partir dans des contrées lointaines…

Wahou, j’ai l’impression d’être à Woodstock en plein mois d’août 1969. Et c’est Janis JOPLIN qui joue sur scène. Génial ! Bon, j’étais beaucoup trop jeune pour être sur place, du coup la réalité me fait redescendre sur terre, et je me réveille devant nos suédoises qui jouent devant moi. Remarque, c’est franchement excellent !

MATILDA ROTH, chanteuse aux pieds nus, habillée tel une sorcière toute droit sortie d’un conte de Grimm, nous prend totalement au dépourvu. Elle vit ses paroles et danse pendant qu’elle ne chante pas, des chorégraphies dignes des années 60. Lorsqu’elle ne hurle pas des cris stridents loin de son micro. C’est complètement démentiel ! Elle a une voix d’une justesse insolente.

Le seul problème, c’est que vue la bougeotte dont elle fait preuve, il est difficile de faire une bonne photo. Lol. En plus, la machine à fog qui m’a fait délirer tout à l’heure, refait son apparition. Cela renforce le côté immatériel des morceaux mais nous empêche d’admirer correctement la prestation des musiciennes. Note pour moi-même : OK, il faudra que j’examine ce qui sort de cette machine. Mdr.

Le groupe capture rapidement son public avec son ambiance lourde et psychédélique pendant que les rythmiques roboratives de la première partie du set – légèrement déstabilisante mais convenant parfaitement au style pratiqué par ces quatre musiciennes – déboîte un public qui reste béat d’admiration. Par certains moments, le groupe me fait penser à LED ZEPPELIN. Au féminin, bien-sûr ! La solide section rythmique composée de la belle rousse, LINN JOHANNESSON à la basse, et de la non moins élégante JOHANNA  HANSSON derrière sa batterie, laisse beaucoup de place à la remarquable SOFIA STRÖM et sa guitare teintée blues.

L’ajout du chant puissant et charismatique de MATILDA, ses danses, ce son hypnotique et psychédélique, font de MAIDAVALE un groupe détonnant. On en prend plein les yeux et les oreilles.

SOFIA nous hypnotise avec ses riffs tout droit sortis de nulle part, jouant régulièrement de ses pédales de distorsions comme un gamin avec son nouveau jouet. Elle impressionne autant que MATILDA qui nous embarque avec sa voix teintée de spleen, ses envolées agressives et ses danses dans la plus pure tradition de la scène rock beatnik. Quand je vous disais que j’étais parti à Woodstock ! La frappe puissante de JOHANNA remue plus d’un quidam. LINN, très discrète sur le côté droit de la scène, fait sortir des infrasons de sa basse sous les coups répétés de JOHANNA.

Le souffle et l’énergie des suédoises ne se perd à aucun moment. Le groupe maîtrise parfaitement le style malgré une timidité éthérée apparente. MATILDA alterne parfois entre le micro, les maracas et les périodes de transe lors des phases instrumentales. Tout le monde semble heureux et content de leur prestation.. Bref, le quatuor suédois envoûte toute la salle !

Les MAIDAVALE quittent la scène mais, comme tout le Brin de Zinc en veut encore, elles remontent sur les planches pour nous jouer un dernier titre non noté sur la set list : « The Greatest Story Ever Told ». Ce morceau vous prend aux tripes et ne vous lâche plus, comme quasiment tous les titres joués ce soir. Il n’y a pas de gros riffs qui tuent ou de shreddeur fou, mais du spleen qui vous remue les viscères et vous ramollit le cerveau. Trop fort ces filles !

La vague revival 70’s ne semble pas s’estomper avec nos nouvelles copines suédoises. Elles perpétuent le style comme il se doit et enchaîneront probablement dates, tournées et bonnes impressions pour les aficionados du style.

Merci au Brin de Zinc et sa programmation toujours variée qui nous fait découvrir des groupes dont nous aurions à peine soupçonner l’existence.

MAIDAVALE @ le Brinc de Zinc – 16 février 2018

VITAL BREATH – Photo by Web O Zen Communication

Comme je n’avais pas pu leur faire l’interview lors de leur release party au Jack Jack, je n’allais pas laisser passer une nouvelle fois l’occasion de vous faire mieux découvrir les VITAL BREATH.

Intervieeeew !

Interview réalisée aux Arts dans l’R de Peronnas (Ain)

 

ÖBLIVÏON
Cette fois-ci c’est dans la boîte ! ÖBLIVÏON a eu la gentillesse de m’accorder une interview entre les balances et leur concert aux Arts dans l’R. 
Je suis vraiment content d’avoir pu la faire car si un groupe était attendu avant la sortie de leur album, c’est bien eux ! 

Interview réalisée aux Arts dans l’R de Péronnas (Ain)

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  • florian lagoutte

Allez, aujourd’hui c’est la Saint-Valentin donc l’important, c’est ma Valentine. Je commence ma journée en allant acheter un bouquet de fleurs… c’est bien, hein ? Gentil Ti-Rickou ! Et pendant que j’y suis, vu que je ne suis pas loin, je passe aux Arts dans l’R. Juste pour la fin des balances de ÖBLIVÏON (merci Facebook, au moins on est au courant de tout !) et je peux donc leur faire une interview. Je dis bonjour aux VITAL BREATH qui commencent les leurs de balances. Je me cale une interview avec eux pour plus tard dans la journée et retour à la maison pour m’occuper de ma Valentine. Le premier qui me dit qu’elle ne s’appelle pas Valentine, je lui mords une oreille !

Le temps de se faire un petit truc en amoureux qui se transforme en fait en apéro avec des potes – on en profite évidement pour en remettre une couche sur le fait que la Saint-Valentin c’est commercial – et je repars aux Arts dans l’R.

Arrivé aux Arts dans l’R avec un peu d’avance, j’ai un peu de difficulté à me garer… Ce qui est forcément un bon signe car ça veut dire que je ne suis pas tout seul à avoir décider de passer cette soirée avec ÖBLIVÏON et VITAL BREATH. A peine franchies les portes, c’est confirmé : il y a du monde !!! Le truc n’était pas forcément prévisible entre la Saint des fleuristes et le PSG qui jouait. Bref, le truc pas gagné d’avance du tout !

Le temps de dire bonjour aux nombreux copains, copines qui ont fait le déplacement et c’est le moment de retrouver les copains de VITAL BREATH. La dernière fois que je les ai vus en live, c’était pour leur release party au Jack Jack de Bron.

Bon là d’entrée de jeu, c’est clair, les lights sont superbes et le son est très bon… J’aurais tendance à dire : comme d’habitude aux Arts dans l’R. VITAL BREATH attaque donc leur set dans de très bonnes conditions et là de suite, évidement, ben ça le fait ! Les musiciens sont très en place, ils sont vraiment dans leur show.

La set list dans ces conditions de live est très efficace. Les morceaux ressortent vraiment. Moi je ne suis pas très objectif sur ce coup-là car j’aime vraiment leur dernier album et je suis très content de les entendre jouer comme ça et en plus dans ces conditions ! Le public confortablement assis autour des tables ou debout au bar participe à l’ambiance.

Bref, très bon début de soirée. Ca part fort !

ÖBLIVÏON @ les Arts dans l’R – 14 février 2018

Le changement de plateau va être assez rapide. Juste le temps de papoter un peu avec les copains et d’aller vérifier qu’il n y a pas une tempête de neige qui s’abat sur nous et c’est le moment de retrouver JO, DAVID, STEPH , MARKUS et FLORIAN car c’est l’heure pour ÖBLIVÏON de monter sur scène.

C’est la première fois qu’ils vont jouer en intégralité leur premier album, album qui sort à la fin du mois de février. C’est marrant, ce soir on va avoir droit à la release party de la release party. Chanceux qu’on est !

Bon, ça attaque bien sûr très fort comme précédemment. Le son et les lights, rien à redire bien au contraire (merci Ralph). On voit que les musicos sont mega heureux de présenter leur nouveau bébé au public. Pour ceux qui suivent le webzine, vous savez que j’ai fait la chronique de leur album et que je l’ai vraiment aimé donc je suis forcément curieux et impatient de voir ce qu’il donne en live, surtout que pour certains morceaux, c’est la première fois qu’ils vont être joués en public.

ÖBLIVÏON @ les Arts dans l’R – 14 février 2018

Bon je vais tuer le suspect tout de suite : eh ben ils passent méga bien le test du live !

En plus, JO AMORE est particulièrement brillant ce soir ainsi que ses compères. On va avoir droit en plus des titres de l’album à quatre morceaux de NIGHTMARE, ce qui donne une set list carrément inédite pour ÖBLIVÏON. Bon nous bien-sûr, on est aux anges.

JO nous annonce depuis deux morceaux que ça va être le dernier. Il nous dit qu’ils vont faire comme s’ils allaient partir pour le rappel mais en fait ils restent là. C’est vraiment fun et du coup on ne veut pas qu’ils s’en aillent, nous. Bon, ils veulent bien nous en rejouer une. le problème, c’est qu’ils ne savent pas quoi. Ils nous rejouent donc un morceau qu’ils ont déjà joué. Eh oui, c’est ça ÖBLIVÏON. C’est plein de générosité.

Le set se termine. MARKUS FORTUNATOa comme d’hab’ été impérial ainsi que STEPH RABILLOUD et DAVID AMORE derrière les fûts. ÖBLIVÏON forme vraiment un groupe homogène et prêt à aller prêcher la bonne parole du heavy metal pour notre plus grand plaisir. Grosse prestation ce soir.

Pour ceux qui n’ont malheureusement pas pu être là, nous remettrons le couvert au Jack Jack avec leur release party – avec SATAN JOKERS et ARCHANGE. Les copains vous avez droit à une séance de rattrapage ! Bon bien-sûr moi, je ne peux pas partir comme ça. Je vais papoter avec eux au stand merch’ où leur album n’est évidement pas proposé à la vente vu qu’il n’est pas encore sorti… Mais les T-Shirts et les photos du groupe s’arrachent !

Allez, je vais me rentrer… Heu non ! J’avais un peu oublié que je devais faire une interview à VITAL BREATH !! Donc retour dans les loges pour la faire. Du coup, le temps de dire vraiment au revoir à tout le monde, il est déjà très tard – ou très tôt comme vous voulez.

Le PSG a perdu, ma chérie ne me fait pas la gueule (c’est la meilleure) et j’ai passé une super soirée dans un endroit que j’adore avec plein de copains. Et dans une salle aussi blindée un jour comme celui-là, j’avoue que je suis plus qu’agréablement surpris.

Long live rock’n’roll !

Un PS aux copains, copines présents (Jeep, Patricia, Jean-Michel..) et à FRANCK CARDUCCI. Moi je sens que la prochaine fois que tu reviendras là, ce sera pour te produire sur la scène. Je te l’avais bien dit que cet endroit était terrible !!!

Un special thank bien évidement à Loetitia et Ralph qui nous accueillent chaque fois en vrais amoureux de la musique et des arts qu’ils sont.

ÖBLIVÏON @ les Arts dans l’R – 14 février 2018

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